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27/11/2009

Deux rendez-vous citoyens

Lundi 30 novembre, deux rendez-vous citoyens nous sont proposés par les élus de l'arrondissement :

  • à partir de 20h00 au Théatre 12 - Maurice Ravel (6 av Maurice Ravel), Sandrine Mazetier députée (PS) de notre circonscription nous convie à une assemblée citoyenne sur le thème "Quel Grand Paris ?" avec Yves Lion (Grand Prix de l'Urbanisme, architecte membre de l'équipe Descartes) et Michèle Blumenthal (Maire du 12e).
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  • à 20h00 également, Les Verts et Europe Ecologie Paris 12e nous invitent au Bistrot Saint-Antoine (58 rue du Faubourg Saint-Antoine) à un café-débat : "Le Sommet de Copenhague", un rendez-vous crucial pour luter contre le changement climatique ... avec Denis Baupin (Maire Adjoint à la Ville de Paris chargé du Développement Durable, de l'Environnement et du Plan Climat) et [Nom supprimé à la demande de l'intéressé] (Conférencier de Greenpeace, spécialiste de la déforestation).
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Commentaires

Invité par Sandrine, je serai malheureusement pris, au même moment, par l' Eco-bistrot d'Europe Ecologie dont je suis adhérent;
Mais je considère le PS comme un allié naturel et je pense déjà au 2è tour, comme je l'ai personnellement dit à Anne Hidalgo, au débat du 9 novembre.
Pour gagner, il faut 51 % et les voix, ce n'est pas entre nous qu'il faut se les échanger ! Il faut les GAGNER sur la Droite !!
Sentiments citoyens de Bernard P. CQ de Bercy + ANTICOR

Écrit par : Bernard Pelladeau | 27/11/2009

Le choix est cornélien soit le « grand Paris » soit le petit « sommet de Copenhague »
Il y en a qui voudraient peut être aller ailleurs !
« « Sommet crucial pour ‘luter’ contre le changement climatique » »
Compte tenu des dernières déclarations des 2 grands de ce monde, le lut et donc l’action de ‘luter’ est bien le terme qui convient. Le somment se terminera (probablement) sur un communiqué hermétique c.a.d bouché au ‘lut’. Il faudra donc, lutter pour faire sauter le goulet. Point n’est besoin de se rendre à Copenhague pour entendre le chant des sirènes !

Écrit par : bernard | 27/11/2009

Le sommet de Copenhague : plus bidon tu meurs... Les participants eux-mêmes n'y croient pas une seconde: comment voulez vous réduire la consommation (en bouffe, énergie, matériel, information) des habitants de la terre entière ALORS qu'ils n'aspirent qu'à cela ? La preuve : lorsque le mur de Berlin est tombé savez vous ce qu'on fait les habitants de l'est ? Des réunions politiques? Que nenni! ils se sont précipités dans les supermarchés!
C'est pas une critique, c'est un constat.
C'est dommage pour la petite minorité qui est consciente du problème, milite et agit en ce sens : je pense par exemple au professeur qui enseigne à normale sup ou à l'université de Jussieu : il habite le quartier latin et se déplace en vélo lui...
Plus sérieusement, je connais, au fin fond des campagnes de vrais citoyens respectueux de la nature je ne suis pas sûr que nous autres cidadin soyons prêts à imiter leur mode de vie (ils n'ont JAMAIS pris l'avion par exemple, je pourrais détailler plus mais je n'ai pas la place )
Par respect pour ces gens là, arrêtons ces parodies qui n'engraissent que les boites de com et les politiques qui récupèrent.
deuxième sujet : le GROSS PARISSE. ACH! je suis contre et je vais aller le dire. Si vous voulez connaitre mes argument, eh bien zavez qu'à venir...
Bises à tout le monde

Écrit par : jean-pierre | 28/11/2009

Sur le PETIT « sommet de Copenhague » grosso modo d’accord. De la « com » encore de la « com » des bombardements médiatiques "urbi et orbi" !
Lors du voyage à Pékin il y a 15 jours, TOUT a été ficelé entre les 2 grands de ce monde.
Manuel grâce à sa coquille, pointe du doigt le problème : ils luTent « POUR » qu’ils n’y aient qu’un simple engagement.
Sur le « kolossal Parisse » : il y a de nombreux projets. L’équipe Descartes représentée par Y. Lion préconise la création de 20 villes (500 000 habitants) autour de Paris. C’est la création de « edge cities » façon US. Pourquoi pas. Mais, compte tenu des difficultés actuelles de créer un minimum de liens et mutualiser des ressources entre Paris et sa « banlieue » ; je doute très fort !
Les architectes, géographes et les économistes nous disent que ce sont dans les grandes métropoles que tout se passera : captation des flux financiers, emplois, « sentiment d'attachement au territoire ». Donc contrairement à hier : « big is beautiful ». Et si demain était différent ?
Les véritables enjeux économiques du « Grand Paris » sont laissés de côté. De plus, pour faire aboutir les projets des architectes, cela suppose un rythme de croissance économique (pour financer) et démographique (pour créer les marges urbaines opérationnelles et les pressions foncières suffisantes: diminuer prix du m²) soutenu. Or, aujourd’hui et demain (sans être devin) cela n’est pas le cas.
Le débat s’annonce intéressant à lundi !

Écrit par : bernard | 29/11/2009

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