Le Quartier Bel-Air Sud

Comme vous, nous l'espérons, l'oeil du quartier prend quelques jours de vacances. Il est allé voir comment l'on vivait dans d'autres villes du monde.

Saurez-vous reconnaître ces villes à l'examen des photos que nous publions ?

Septième destination de l'été : 

Ou se trouve aujourd'hui l'Oeil du quartier ?

Notre précédente destination :

C'était évidemment à Amsterdam que se trouvait l'Oeil du quartier la semaine dernière.

Depuis plusieurs années, l'utilisation du vélo ne cesse de croître dans les grandes agglomérations et en particulier dans le centre des villes. 

Certes, l'usage du vélo diffère d'un pays à l'autre et il est encore loin d'atteindre à Paris les chiffres enregistrés aux Pays-Bas ou en Allemagne. En effet, 3% des déplacements s'effectuent à vélo à Paris contre 28% à Amsterdam.

Il y a 600 000 vélos à Amsterdam en 2010 (contre environ 65 000 à Paris) !

La population amstellodamoise est de presque 800 000 personnes (sur une surface de 166 km2). Celle de Paris est de 2,2 millions (sur une surface de 105 km2).

Amsterdam possède plus de 400 kilomètres de pistes cyclables. Paris en comptait 446 en 2009.

Mais Amsterdam, c'est ausi une ville ou règne un certain art de vivre, une destination (à 3 heures 20 de Paris en Thalys) que l'Oeil du quartier vous recommande.

La météo de septembre s'annonce agréable. C'est l'occasion de vous rappeler que le festival Classique au vert se poursuit jusqu'au 25 septembre au Parc Floral de Paris. Cette année il est dédié à la musique des Amériques.

Depuis la Symphonie du Nouveau Monde, le « jazz symphonique » de Gershwin et les tangos de Piazzolla, la musique des Amériques a su conquérir le public français et européen.

Nombreux sont les orchestres, ensembles, chanteurs et solistes renommés de ce côté-ci de l’Atlantique qui ont répondu présent à ce grand rendez-vous. Et tous, sur la scène du site magnifique du Parc floral, auront à coeur de faire partager leur passion pour les grands espaces de Dvorak ou d’Aaron Copland, les airs de Broadway, les violons d’Hollywood, les marches de Sousa, les avant-gardes de Steve Reich ou de John Adams et bien d’autres musiques encore de ces fascinantes Amériques.

Informations pratiques :

Accès : RER Vincennes / M° Château de Vincennes
Bus : lignes n° 47, n° 112 / parc à vélos / station vélib'
Horaires : 9h30-20h
Tarifs : 5€ /réduit 2,50€ (uniquement les jours de concert)

Tous le programme du mois de septembre :

À la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration l'exposition Polonia, des Polonais en France depuis 1830 vient de se terminer. Il est vrai qu'elle était à l'affiche depuis le 2 mars et que la prochaine n'est annoncée que pour mi-novenbre. Vous pouvez toujours ici vous procurer le catalogue de l'exposition.

De l'autre côté du bois, à Nogent-sur-Marne, ce sont les Italiens qui sont à l'honneur.

Du samedi 10 septembre au dimanche 18, se tient au Carré des Coignard, une exposition consacrée aux Italiens de Nogent :

A la fin du 19ème, des Italiens, tous du Nord, ont convergé vers Nogent où il fallait reconstruire le viaduc détruit en 1870 pour stopper l'avancée des Prussiens. Ces maçons, dans les rues tortueuses de la sous-préfecture du département de la Seine, ne tardèrent pas à y faire leur nid. Au début du siècle, Nogent comptait la plus importante communauté italienne de France.

Les Italiens de Nogent-sur-Marne font la fête
Cliquez sur l'image pour voir la video sur le site de l'ina

Au programme :

• Photographies et documents relatifs aux Italiens de Nogent ainsi que des objets anciens (accordéon, pot à eau, machine à polenta, etc.) mis à disposition par le musée. Des ouvrages seront en vente le samedi 17 et le dimanche 18 septembre.

• Projection du documentaire Les Italiens de Nogent réalisé par la chaîne Demain TV dans le cadre de l’émission Il était une fois la France. 

Carré des Coignard.
150, Grande rue Charles de Gaulle

Du 10 au 18 septembre, du mardi au vendredi de 15 h à 19 h, samedi et dimanche de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h.

Découvert sur le site de la section Paris 12e du Parti Socialiste :

La Bibliothèque politique de la section est ouverte !

Comme nous l’avions proposé, une espace « bibliothèque » est désormais disponible à la section. Vous pouvez y emprunter les ouvrages mis à disposition. Il faut simplement les ramener une fois la lecture terminée. Le fond est constitué de dons de camarades de la section, fond que vous pouvez enrichir en donnant vos propres ouvrages qui prennent la poussière dans des cartons ou étagères.

Même s'il est probable que Circul'Livre vous offre un éventail plus large de lectures, comment ne pas se réjouir d'en voir le principe se propager

Les moins pervers d'entre-vous ont deviné que nous allions évoquer aujourd'hui les biberons inventés et fabriqués par Edouard Robert.

La révolution industrielle du 19e siècle va permettre à la production de biberons de prendre son envol et d'être fabriqués à grande échelle.

Édouard Robert, un entrepreneur dijonnais est l'inventeur éponyme du biberon : il crée un modèle avec un long tuyau baptisé « biberon robert à soupape », il sera affiché à l'exposition universelle à Paris, en 1873. Édouard Robert recevra une médaille d'honneur. La forme de la limande va perdurer pendant près d'un siècle.

Lire sur le site Une histoire du Biberon cette page qui concerne l'épopée de la maison Robert.

La fabrique des biberons Robert ne se trouvait pas rue Edouard Robert, mais au 48-50 boulevard de Reuilly comme le précise cette facture sur laquelle on distingue le pavillon toujours présent place Félix Eboué.

Cliquez pour agrandir l'image

Profitant de l'occasion, nous vous rappelons que c'est au 24 rue Edouard Robert (ex rue du Biberon-Robert) que se trouve la Repasserie créée et gérée par la Régie de Quartier Fécamp 12. Cette repasserie propose un service de qualité et une livraison écologique tout en contribuant à l'insertion sociale et professionnelle de ses salariés.

La commission Cinéma itinérant des conseils de quartiers organise cet été un festival Catherine Deneuve. Elle vous invite

à la projection gratuite et en plein air (sous la passerelle de la promenade plantée) du film Le Dernier Métro

Le Dernier Métro est un film français (durée : 2h13) de François Truffaut, avec Catherine Deneuve et Gérard Depardieu, sorti sur les écrans en 1980 :

La vie du Théâtre Montmartre sous l'Occupation. En sachant que le directeur Lucas Steiner est un israélite d'origine allemande, caché dans les caves du théâtre avec pour seul lien avec l'extérieur sa femme, Marion.

Comme vous, nous l'espérons, l'oeil du quartier prend quelques jours de vacances. Il est allé voir comment l'on vivait dans d'autres villes du monde.

Saurez-vous reconnaître ces villes à l'examen des photos que nous publions ?

Sixième destination de l'été : 

Ou se trouve aujourd'hui l'Oeil du quartier ?

Notre précédente destination :

Où, ailleurs qu'à Bruxelles, peut-on s'offrir une gaufre au milieu de la nuit ? C'est bien à Bruxelles, la capitale européenne la plus proche de Paris (310 km), que se trouvait l'oeil du quartier la semaine dernière. Saluons la précision de la réponse de Brendan : la photo a été effectivement prise place Royale où, (voir ici) la présence d'une telle camionette semble fréquente.

Malgré le 'x', comme dans Auxerre, son nom se prononce Brussel. En effet, l’orthographe actuelle du nom provient d’une habitude des scribes du Moyen Âge, de remplacer les doubles « s », comme dans Brussel, Brusselles, par une croix, ce qui n’en modifiait pas la prononciation.

Bruxelles est souvent qualifiée capitale de facto de l’Union européenne, bien que l’Union ne dispose pas formellement de capitale. Y siègent en effet de nombreuses institutions européennes, telles que :

• Le Conseil de l’Union européenne
• La Commission européenne
• Le Parlement européen, pour ses travaux de commissions et ses sessions additionnelles
• Le Comité des Régions ; Le Conseil des Communes et régions d’Europe
• Le Comité économique et social.

L'Espace Traversière annonce sous ce titre, un spectacle qui devrait réjouir les amateurs de jazz dont nous sommes. 

C’est pour nous livrer des moments choisis de sa carrière, tel un album de photos, que Marcel Azzola réunit sur scène samedi 17 septembre 2011 à 220h30, quelques uns de ses amis – et fervents admirateurs.

• Accordéon : Marcel Azzola
• Chant guitare : Sanseverino 
• Accordéon : Ludovic Beier, Gérard Luc, Daniel Mille 
• Bugle : Julien Alour
• Piano : Lina Bossati 
• Batterie : André Ceccarelli 
• Contrebasse : Diego Imbert 
• Guitare : Sylvain Luc

Initié à l’accordéon dans les années 30 parce que cela permettait de jouer dans les cafés et de gagner sa vie, Marcel Azzola va connaître une trajectoire sans faute aux côtés des plus grands interprètes de la chanson française, mais aussi à la tête de ses propres projets. Aussi à l’aise dans la musique classique que dans le musette et le jazz, il traverse les modes et les époques en devenant l’un des plus grands accordéonistes contemporains.

Tarif : 22 € - Réservations

Espace Traversière
15, rue Traversière - 75012  PARIS

Alors que l’enquête publique préalable à la réalisation des aménagements des voies sur berge devait se dérouler du 4 juillet au 2 septembre, le président de la commission d’enquête vient de la prolonger de 12 jours. Vous avez-donc jusqu'au 14 septembre pour vous prononcer.

Vous pouvez également répondre (ci-contre à droite) à l'enquête menée par les conseils de quartier Bercy et Gare de Lyon - Aligre.

Voilà onze ans que le Forum des images prend ses quartiers d’été et profite des nuits étoilées pour faire son Cinéma au clair de lune. L’occasion rêvée de découvrir Paris, de Montmartre à Montsouris, de la place des Fêtes à celle des Vosges, et de (re)voir quelques-uns des films, classiques ou plus contemporains, qui ont pris la Ville lumière pour décor. L'avant dernière séance de l'été 2011 se tient dans notre quartier :

Samedi 20 août, à 21h30, sur la Pelouse de Reuilly (Métro Porte de Charenton), le Cinéma au Clair de Lune propose : Tenue correcte exigée, un film français de Philippe Lioret (1h30) avec Elsa Zylberstein, Zabou Breitman, Jacques Gamblin. Projection gratuite.

Pour échapper à de sérieux ennuis, un ex-mari à la rue tente d’entrer en contact avec son ancienne épouse – devenue celle du gouverneur de l’Iowa –, séjournant dans un palace parisien à l’occasion d’un important congrès d’affaires… Par le réalisateur de Welcome, une comédie sociale qui confronte nantis et laissés-pour-compte avec une férocité réjouissante.