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30/12/2013

Pour finir l'année en musique

parisQuelques opus de l'oeil du quartier au concert nous ont donné l'occasion d'évoquer les musiciens qui ont donné leur nom à des rues de l'arrondissement : Maurice Ravel, Johannes Brahms, François-Joseph Gossec, Tomaso Albinoni, Vincent d'Indy, Paul Dukas, Antonio Vivaldi, Georges Gershwin, Léonard Bernstein.

Il nous paraît juste de compléter cette liste de compositeurs par deux facteurs de piano qui ont contribué à l'oeuvre de certains d'entre eux et dont le nom se retrouve également parmi les rues du 12e.

parisSébastien Érard, voit le jour à Strasbourg le 5 avril 1752. Il se lança trés tôt dans des études de technologie, il fit ses débuts comme facteur de clavecins. En 1777, il commence la construction du premier piano (un piano carré). C’est à cette époque qu’il se met en association avec Jean-Baptiste Erard, son frère, pour fonder une société. En 1790, construction du premier piano en forme de clavecin. Pour fuir la Révolution, il émigre à Londres en 1792. De retour à Paris en 1796, il fonde une nouvelle société. Sébastien Erard meurt en 1831 à Paris.

La rue Erard, anciennement Petite rue de Reuilly ou rue du Bas Reuilly est ainsi dénommée depuis 1864. Elle relie la place du colonel Bourgoin (ancienne place de Rambouillet) à la rue de Reuilly. Sébastien Erard travailla un temps au faubourg Saint-Antoine qui n'en est guère éloigné.

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parisCamille Pleyel (1788-1855) est le fils d’Ignace Pleyel, fondateur de l’atelier de facture de piano du même nom. Il reprend l’entreprise familiale en 1824 après s’être fait connaître comme pianiste, pédagogue et compositeur. Associé au pianiste Kalkbrenner, puis à Auguste Wolff, il réalise de grands perfectionnements dans le mécanisme du piano, assurant ainsi la notoriété de la maison Pleyel.

L'entreprise située a Saint-Denis, en déclin depuis les années 50 a annoncé sa fermeture le 12 novembre dernier.

Anciennement rue du Trou-à-Sable en raison de l'extraction qui en était fait en ce lieu, la rue Pleyel est ainsi dénommée  en 1890.

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Commentaires

Voilà que notre rédacteur s’est « substantivé ». En effet, guidé par cette foi qui habite les simples, et qui parfois, dit-on, renverse les montagnes il mentionne ses ŒUVRES : « l’œil du quartier » oups ! (anagramme d’opus).
Vous avez rédigé plusieurs œuvres « OPUS ?!».
Je sais que l’heure est à la modestie, à l’humilité, à la retenue, à des pudeurs toutes de posture, abandonnez ce style étriqué soyez dithyrambique écrivez « opéra » :- )
Ne cherchez pas à ouvrir l’œil. Ce dernier est clos victime du virus HTTP 404 de « quoi avoir la mine piteuse » !

Écrit par : bernard | 30/12/2013

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