11/04/2024
La question (136) du mois d'avril 2024
Pour faire vivre la facette dialogue de ce blog qui s'affirme blog citoyen d'information et de dialogue des habitants du quartier et au-delà, nous vous invitons chaque mois à nous faire part des réflexions que vous inspire une question.
La question du mois d'avril :
- juin 2020, sortie du 1er confinement : autorisation des terrasses éphémères,
- avril 2022 : Institution de terrasses estivales exploitées jusqu'à 22h00 chaque année du 1er avril au 31 octobre,
- mars 2024 : les terrasses estivales exceptionnellement autorisées jusqu’à minuit à l'occasion des JO du 1er juillet au 8 septembre 2024.
- Qu’en pensez-vous ?
07:55 Publié dans Démocratie locale | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
Commentaires
Déjà que Paris va être peu calme les terrasses vont encore accentuer le sentiment que Paris n’est réservé qu’aux fetards ! Riverains qui veulent juste vivre normalement seront priés de subir sans se plaindre sous peine de passer pour des vieux C….
Et après on dit que les gens n’ont plus d’argent mais ils en ont pour aller boire et manger sur ces terrasses !!!
Écrit par : Jaimeparismais | 12/04/2024
La terrasse en photo illustrant l'article semble clairement abusive ... et surtout illégale !!! Je n'ai rien contre les terrasses, encore moins si elles prennent la place des stationnements de voitures, mais il faut que les autorisations soient clairement affichées, pour les terrasses estivales comme pour celles ordinaires, d'ailleurs. Par contre, en ce qui concerne les horaires, minuit est vraiment trop tard : Paris ne doit certes pas mourir d'ennui mais c'est aussi une ville où il y a des familles avec enfants et des gens qui se couchent et dorment relativement tôt (22h30, disons, pour les adultes. Quant aux enfants, ils seront en vacances). Donc, minuit me semble trop tard, 23h. me semble de fait acceptable, mais il est vrai que c'est pénible et agaçant de voir le grand cas qui est fait des touristes (et des vélos - et je suis cycliste) au détriment des vrais parisiens habitants et riverains (et des piétons). On a le sentiment de moins vouloir aménager la ville que de faire du commerce (et de l'idéologie écolo) sur le dos des "vrais" habitants, ceux et celles qui vivent, bossent et paient leurs impôts locaux ici.
Écrit par : RENAUD | 12/04/2024
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