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07/06/2007

Et pourquoi pas à cheval ?

Alors que l'avenir, nous dit-on est aux circulations douces, on peut se demander pourquoi le cheval n'est jamais mentionné comme en faisant partie.

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Le site Le cheval à Paris nous apporte la réponse :

Paris est la seule grande ville européenne d’où les chevaux (exception faite de ceux de la Garde républicaine) sont bannis (sauf un jour de décembre, au moment du Salon du cheval), la seule grande ville européenne à avoir totalement supprimé les fiacres, la seule grande ville européenne où les attelages ne sont plus autorisés à circuler.

Etrange situation qui ne s’appuie, d’ailleurs, sur aucun texte législatif ou réglementaire. Rien, théoriquement, ne s’oppose à la libre circulation dans Paris de chevaux montés ou attelés, s’ils respectent le Code de la route. Pour interdire ce moyen de transport, la police est obligée d’utiliser comme prétexte, même lorsque ce n’est pas le cas, qu’il gêne la circulation.

Autre « argument » fréquemment avancé : l’abondance de ses déjections. C’est, encore une fois, un faux problème : l’abondance des déjections canines n’a pas entraîné, à ce jour, l’interdiction de posséder un chien dans Paris et de l’y promener !

La municipalité parisienne ne dissimule pas ses aspirations écologiques. La politique de limitation de la circulation automobile, la création de couloirs pour bicyclettes, la protection de convois de rollers : tout indique que le Maire de Paris ne saurait éprouver de l’hostilité à la douce présence du cheval dans la cité.


Le site Les métiers du cheval nous précise la position de la prefecture sur ce sujet.

08:29 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Paris

Commentaires

Votre article est hippique ! L’hippolâtrie est à son comble ! Hier , 14 cavalières avaient porté missive chez le premier magistrat de Lutèce pour la réintroduction du cheval dans la capitale, pourquoi pas ? Mais, en cas de rétablissement de la race chevaline, il n’ y a pas que les nuisances du crottin, il y a les flatulences du bétail qui risque d’augmenter les émissions de gaz à effet de serre ! Qu’en pense les Verts ?
Au début du XXème siècle, le cheval était pratiqué par les familles aristocratiques , l’élégant ou le dandy. Aujourd’hui , je ne peux qu’espérer m’offrir faute d’écurie, qu’un Falabella (cheval "d'appartement" de 50 centimètres au garrot ) c’est vraiment la décadence !
A quand le cheval de compagnie, c'est-à-dire le dada-à-sa-mémère ?
Dans l'attente , je suppose que la pratique hippophagique est condamnée ?

Écrit par : bernard | 07/06/2007

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