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19/04/2010
Laissons pousser
Laissons pousser est une association du 10e arrondissement qui, avec le soutien de natureparif (Agence régionale pour la nature et la biodiversité en Ile de France), invite les citoyens à planter des fleurs sauvages sur l’espace public et à porter un nouveau regard sur la biodiversité des pavés.
Au pied des arbres, sur les ronds points, partout où le béton et le bitume cèdent quelques centimètres à un coin de terre. Les fleurs ce sont des coquelicots, des marguerites, de la camomille sauvage, 17 espèces de plantes sauvages.
Chaque collectivité partenaire distribue à ses habitants des sachets de graines et organise avec eux les plantations.
A Paris, les sachets (chacun couvrant 1m2) sont distribués depuis le 15 avril via le réseau d’écologie urbaine ainsi qu’aux jardins pédagogiques des écoles et des centres de loisirs et aux associations animant les jardins partagés du réseau Main Verte.
Dans notre quartier, les copropriétaires de la résidence du 117 avenue Michel Bizot ont donné l'exemple dès mercredi 15 avril en semant dans leur jardin les coquelicots et la mauve de Laissons Pousser ! et aussi des œillets offerts par une famille.
- Biblio-ludothèque de la Maison Paris-Nature, Paris 12e
- Maison du jardinage, Paris 12e
- Ferme de Paris,, Paris 12e
07:55 Publié dans Animation-Culture, Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
Commentaires
C’est fait , la « place sans nom » est végatalisée . Elle accueille « bacs, pique nique et capoeira » Rassurez vous , les classes de terminales du lycée P. Valéry ne sont pas délocalisées au carrefour des bds Picpus/Reuilly et rue Braille !
Depuis l’installation des bacs/ jardinières face à la grille du métro, l’animation est bon enfant.
Des badauds sont assis sur les bancs ou, faute de place, sur les semis. Sous le soleil, le « saucionnage » façon pique nique mini bois de Vincennes fleurit. Enfin, un spectacle de « capoeira » délivré par des jeunes « danseurs /combattants » complète le menu.
Espérons que circul’livre ne sera pas mis au ban par les jardinières.
Seul bémol, la traversée des piétons de la rue L .Braille vers la rue de Picpus est délicate
Nous attendons avec impatience les fleurs. Dans l’attente « laissons pousser »
Écrit par : bernard | 19/04/2010
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