20/10/2017
Quinze ans de réduction de la place de la voiture à Bel-Air et une seule question
Souvenez-vous ....
En 2002 la placette Montempoivre :
En 2002 le boulevard Soult :
En 2002 le boulevard Soult :
En 2002 avenue Michel Bizot :
En 2002 avenue Daumesnil :
En 2003 rue de Toul :
En 2003 sentier de Montempoivre :
En 2003 avenue Daumesnil :
En 2003 placette Montempoivre :
En 2009 place Antoine Furetière :
La question ?
Oui, la place de la voiture a été largement réduite Vit-on pour autant plus mal dans le quartier ? |
Pour poursuivre sur le sujet : Quand Paris n'était qu'un gigantesque parking à ciel ouvert
07:58 Publié dans Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : paris
Commentaires
Bonjour
Pour répondre a votre question , il est devenu très dangereux de vivre dans le 12°, les restrictions de circulation énervent les livreurs & automobilistes , les passages piétons au niveau des écoles ne sont pas éclairés , risques l'hiver & la circulation des poids lourds de transport dangereux sur les extérieurs ( interdit sous bois de Vincennes )
Écrit par : bogatchevsky | 20/10/2017
Tout ceci est vrai. Mais pourrait-on faire la même observation avec les 2 roues motorisées? Alors qu'elles polluent aussi, qu'elles encombrent nos trottoirs, qu'elles sont plus bruyantes que les voitures, qu'elles ne respectent pas les règles de circulation et, enfin, qu'elles ne payent aucune de redevance de stationnement. Vit-on pour autant mieux dans le quartier?
Écrit par : Philippe | 20/10/2017
Sic : « vit-on pour autant plus mal dans le quartier ? »
Si vous ne prenez que dans « le vit-on » la seule place de la voiture sur la voie publique la réponse est dans votre question ! (1)
Le stationnement « sauvage » a sérieusement été diminué certes.
La largeur de voies de circulation s’est considérablement réduite (voir exemple ave daumesnil où cohabite, le stationnement (légal) des voitures et 2 voies cyclables !
D’autres rues du quartier sont devenues des lieux de cohabitation entre 2 roues, voitures
et piste cyclable à contre sens !
Un Paris « sans voiture » en 2030 ?
Il est vraisemblable que l’avenir des grandes métropoles ne soit pas au « sans voiture »
Il est probable que le modèle de la voiture individuelle sera en très forte décroissance via les mesures coercitives des pouvoirs publics.
La nouvelle ère est d’ores et déjà dans les cartons des constructeurs (Peugeot /Porsche *) mais aussi de « start-up » made in USA pour proposer la voiture autonome électrique et sans chauffeur.
*« fournisseurs de services de mobilité »
Quid de la phase de transition/cohabitation entre voitures autonomes et traditionnelles ?
Quelle durée sera accordée par les pouvoirs publics à la phase de cohabitation ?
Quid du stationnement ?
Concernant le stationnement des « vélos » sans borne et du concept « je dépose mon vélo où je veux ». Les effets pervers vont vite se faire « sentir » au niveau de l’occupation de l’espace public.
(1) vous pouvez poser la question aux riverains du quai de la Mégisserie depuis la fermeture des voies sur berges !
Écrit par : bernard | 22/10/2017
Moins de voitures en stationnement mais aucune gêne pour se poser n'importe où, n'importe comment que ce soit les voitures ou les immenses camions de livraison, les conducteurs se posent là où ils doivent livrer, ils restent au milieu de la chaussée, pour les voitures, au mieux c'est sur le trottoir. Ceux qui tournent pour trouver une place, ce sont les autres, ils tournent, tournent...
Écrit par : La gazelle du XII | 23/10/2017
200% d'accord avec Philippe au sujet des 2 roues motorisés.
L'omerta, savamment orchestrée face à l'envahissement de Paris par les scooters et autres 2 roues polluants, reste pour moi un mystère.
Le blog Bel Air sud se fait d'ailleurs le complice de cette omerta en dénonçant, par exemple, uniquement les voitures roulant dans la piste cyclable du boulevard de Picpus. Je prends tous les jours le métro à Bel Air et je n'ai jamais vu une voiture. Cette piste cyclable est en revanche une véritable autoroute à scooters.
Quant au stationnement sauvage, et qui est d'ailleurs gratuit pour les deux roues, cela prend des proportions inquiétantes. Une preuve bien réelle, les trottoirs de notre fameuse place sans nom.
Donc pour répondre à la question, nous vivons toujours aussi mal, voire plus mal en tant que piéton, les voitures ayant été remplacées par des 2 roues motorisés.
Écrit par : Pierre | 23/10/2017
@bogatchevsky "vivre dans le 12e est devenu dangereux", ne changez pas, vous me faîtes beaucoup trop rire.
Écrit par : Denis | 26/10/2017
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