Le Quartier Bel-Air Sud

Même s'il y a loin entre notre quartier de Bel-Air Sud et le 'Grand Paris', nous ne saurions trop vous inviter à regarder cette émission de 52 minutes sur la chaine internet Paris Cap consacrée au Grand Paris qui sera un thème central des prochaines élections municipales.

Les intervenants sont :

Roland Castro (Architecte Urbanisme)

Pierre Mansat (Adjoint au Maire de Paris chargé des relations avec les collectivités d'Ile de France)

Jean-Marc Offner (Directeur du LATTS)

Guillaume Malaurie (Directeur de la Rédaction du Nouvel Observateur)

Lundi matin va s'ouvrir la première réunion d'automne du Conseil de Paris. Vous pourrez comme d'habitude en suivre le déroulement en direct à partir de 9h00.

Alors que la campagne électorale pour les prochaines municipales est quasiment engagée, il nous a paru intéressant de nous pencher sur la composition politique du Conseil de Paris.

Il comporte 163 conseillers (88 hommes et 75 femmes) répartis en 8 groupes comme suit :

Union pour un Mouvement Populaire : 57

Socialiste et Radical de Gauche : 52

Les Verts : 17

Communiste : 11

Mouvement Démocrate : 10

Mouvement Républicain et Citoyen : 7

Nouveau centre et indépendants : 5

Non inscrits : 4

Le bilan de la mandature est celui d'une équipe, mais au moment de voter, il conviendra de s'interroger sur la part qui revient à chacune de ses composantes.
Toute la question va être, pour les électeurs, d'aprécier à quelle tendance il convient d'attribuer ce qu'ils considèrent comme réussites ou comme échecs de la période qui s'achève.
La politique qui sera menée au cours de la prochaine mandature dépendra bien sûr du (ou de la) Maire qui sera élu(e), mais également du poids relatif des conseillers qui formeront sa majorité.

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Dans le 12ème , le Conseil d'arrondissement comporte 30 conseillers dont le rapport de forces se présente comme suit :

Alors que l'extension de la video-surveillance fait débat dans la presse (cf cet article paru dans le Figaro le 4 juillet dernier), Paris, comme la loi l'impose, annonce la couleur avec ce panneau apposé à toutes les entrées dans la ville.

Notre rubrique vous propose depuis le 1er Juillet une nouvelle série basée sur des photos anciennes de notre quartier.

Ces photos proviennent de la Photothèque des Jeunes Parisiens.

L'oeil et la mémoire du quartier vous invite, non seulement à identifier le lieu (exercice dont la difficulté sera très variable selon les clichés), mais à observer les évolutions dont il a pû être l'objet.

Douzième coup d'oeil :

Nous n'aurons pas l'audace de vous dire qu'il est facile, mais nous comptons sur votre perspicacité pour nous dire où a été prise cette photo. N'hésitez-pas à vous lancer. Il n'y a rien à gagner ni rien à perdre !

Solution du précédent coup d'oeil :

Bien vu "C" ! Cette photo représente en effet la rue de Picpus au niveau de son croisement avec la rue Sidi Brahim et le passage Chaussin.Comme nous l'avons déjà mentionné au sujet de la rue de La Vega, on voit que ces rues d'avant Haussmann conservent leur caractère malgré la rénovation de l'habitat. Cette partie de la rue de Picpus n'a pas encore été recalibrée (élargissement et mise aux normes des trottoirs). Espérons que celà se fera sans nuire à son charme.

L'automne est la saison idéale pour profiter du bois de Vincennes. Partimoine majeur de la capitale, situé dans notre arrondissement, vous l'avez classé numéro 1 du Top XII. Il méritait bien ce rappel historique :

Dénommmé à l'origine « Vilcena», le bois de Vincennes est un vestige de l'antique ceinture forestière qui entourait Lutèce.

Le bois de Vincennes était réservé aux chasses royales depuis le 11ème siècle. Le premier embryon de château vit le jour sous Louis VII, dit Le Jeune (1137-1180) qui fit construire un rendez-vous de chasse.

Au début du 13è siècle, Philippe Auguste entoure le terrain de chasse royale de Vincennes d'un mur de 12 km. Il y fait lâcher des daims, des biches, des cerfs.

Pavage d'une rue de Paris
et enclosure du bois de Vincennes sur ordre de Philippe Auguste.

Sous Louis XV, le bois est transformé en promenade publique où l'on entre par 6 portes percées dans les murs de clôture.

Au 19è siècle, le parc devient terrain d'entraînement militaire : il est défriché pour laisser place aux casernes, champ de manœuvres, buttes de tir. En 1860, Napoléon III cède le bois à la ville de Paris pour qu'il soit transformé en parc symétrique du bois de Boulogne. Haussmann le fait aménager par Alphand (portrait ci-contre) dans le goût anglais prisé par l'empereur : le domaine est reboisé, creusé de reliefs et de lacs. Le lac de Gravelle, alimenté par les eaux de la Marne, sert de réservoir pour les autres lacs et les rivières qui sillonnent le parc. On crée le champ de courses. Peu à peu les installations sportives s'étendent. Deux sentiers balisés permettent de découvrir les frondaisons.

Références :
www.boisdevincennes.com
www.paris.fr
www.mairie-vincennes.fr
www.parisbalades.com/

A l’occasion des 30 ans de la collection Folio Junior, la librairie Atout-livre accueille ...

Mercredi 26 Septembre 2007 à 17h00
... l'auteur Jean-Philippe Arrou-Vignod

Lectures et dédicace, de quoi régaler les 9 - 12 ans et les grands..

Jean-Philippe Arrou-Vignod est né à Bordeaux. Agrégé de lettres modernes, il est enseignant en banlieue parisienne et directeur, chez Gallimard Jeunesse, des collections pour adolescents. Il est auteur de livres pour adultes et pour la jeunesse. Il a publié, aux éditions Gallimard, Le rideau sur la nuit, qui a obtenu le prix du Premier Roman 1984.

Jean-Philippe Arrou-Vignod a gardé de son enfance une passion pour les romans policiers et les livres d'aventures, passion qui se retrouve tout au long de ses ouvrages. Il est notamment l'auteur des aventures de P.P. Cul-Vert.

L'Atelier Parisien d'Urbanisme (APUR) a récemment publié une étude concernant l’accès au logement social à Paris.

Paris compte 171 502 logements sociaux SRU au 1er janvier 2006, soit 15% des résidences principales. Ce chiffre marque une augmentation de 4 109 logements par rapport au 1er janvier 2005 et de 17 188 par rapport au 1er janvier 2001.

Le nombre de ménages inscrits au fichier parisien des demandeurs de logements atteint 109 397 au 31 décembre 2006. Par rapport à l’année précédente, dans un contexte caractérisé par une forte hausse des prix des logements au niveau régional, l’effectif des demandeurs parisiens s’est légèrement accru (+1,4%) tandis que celui des non parisiens qui demandent à bénéficier d’un logement social dans la capitale est apparu en forte augmentation (+25%).

Avec 15,66% de logements sociaux, le 12eme se situe un peu au dessus de la moyenne parisienne (14,98%). En 2006, notre arrondissement comptait 11643 logements SRU pour 74357 résidences principales. En 2001, on comptait 9684 logements SRU pour 73899 résidences principales (13,10%).

L’étude présente également un bilan des attributions de logements sociaux. Le nombre total de ménages ayant bénéficié d’une attribution de logement à Paris est estimé à 12 700 en 2006.

Nous avons trouvé la réponse à cette question sur le site de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL). La voici :

10/07/2007 : La CNIL a travaillé avec la Ville de Paris afin que la mise en place du système de location de vélos prévue pour le 15 juillet 2007 et dénommé VELIB, prenne en compte la liberté d’aller et venir anonymement. La Commission répond aux questions que vous pouvez vous poser à ce sujet.

Quelles sont les informations enregistrées dans le cadre de l’abonnement VELIB ?
Pour les abonnements « courte durée » (1 jour ou 7 jours), la société SOMUPI, sous-traitant pour la Ville de Paris, ne détient aucune information personnelle.
Pour les abonnements « longue durée » (un an), les données de validation (lieu de prise et de restitution du vélo) sont collectées et rattachées à l’identité de l’abonné.

Notre rubrique vous propose depuis le 1er Juillet une nouvelle série basée sur des photos anciennes de notre quartier.

Ces photos proviennent de la Photothèque des Jeunes Parisiens.

L'oeil et la mémoire du quartier vous invite, non seulement à identifier le lieu (exercice dont la difficulté sera très variable selon les clichés), mais à observer les évolutions dont il a pû être l'objet.

Onzième coup d'oeil :

Solution du précédent coup d'oeil :

Aucun(e) d'entre -vous n'a reconnu cette partie de la rue de La Vega vue depuis son intersection avec la rue de Rottembourg.La rue de La Vega (tout comme la rue de Toul ou la rue Sibuet) est l'une de ces rues dont le charme tient à la sinuosité (à la différence des percées rectilignes Haussmanniennes). Son bâti a certes bien changé depuis le début du siècle dernier (époque de la photo), mais à nos yeux son ambiance est préservée.

Il est vrai que le carrefour de Beauté est un peu éloigné de Bel-Air Sud, mais sachant que le Bois de Vincennes est en totalité dans le 12eme, et non délimité en quartiers, tout ce qui s'y passe nous intéresse.

Cet aménagement a pour objectifs de sécuriser les déplacements des piétons, pacifier la circulation automobile et redonner une lisibilité au carrefour de Beauté. Il vise également à faciliter les déplacements à pieds entre les communes de Nogent sur Marne, Joinville le Pont et le coeur du bois de Vincennes.

Les travaux prévus de Septembre 2007 à Février 2008 consistent à élargir les trottoirs situés au pourtour de ce carrefour, à modifier la signalisation tricolore, à moderniser l’éclairage public et enfin à procéder à de nouvelles plantations de manière à affirmer le caractère forestier du site (détails sur Paris.fr).

Le projet qui va être réalisé est celui présenté en réunion publique à Nogent sur Marne le 25 avril 2007 et à laquelle les riverains des communes limitrophes avaient été conviés. Il est cofinancé par la Région Île-de-France, la ville de Nogent sur Marne et la ville de Paris.