Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/05/2025

La question (149) du mois de Mai

parisPour faire vivre la facette dialogue de ce blog qui s'affirme blog citoyen d'information et de dialogue des habitants du quartier et au-delà, nous vous invitons chaque mois à nous faire part des réflexions que vous inspire une question.

La question du mois de Mai :

paris

Elles sont de retour depuis un mois.
Les terrasses estivales sont-elles pour vous
une agréable manifestation de la vie du quartier
ou une entrave à vos déplacements ?

07:56 Publié dans Démocratie locale | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : paris

Commentaires

Bonne idée pour la convivialité... mais qui exige le respect du "vivre ensemble " (pour les riverains vivant au-dessus des cafés/brasseries)

Écrit par : monic | 09/05/2025

Réponse 1 : une agréable manifestation de la vie du quartier (mais effectivement attention pour ceux qui habitent au-dessus à ne pas laisser les terrasses ouvertes toute la nuit). Pour ce qui est des déplacements, il est, dans ma modeste expérience, rarissime qu'on ne puisse pas passer à cause d'une terrasse...

Écrit par : brogio | 09/05/2025

Comme pour beaucoup de choses : ça dépend. J'ai longtemps habité Paris Centre dans un quartier saturé de terrasses avec des bars qui ne respectent pas les règles. Exemple sur le Quai de Valmy où la vie devient infernale pendant les beaux jours pour les riverains.
C'est moins oppressant dans le 12è qui est un arrondissement avec plus d'espace et moins de bars donc moins gênant pour le passage et, comme tout le monde, je peux apprécier une boisson en terrasse.

Écrit par : pung | 09/05/2025

Une agréable manifestation de la vie commerçante du quartier et de l'art de vivre, de perdre du temps et de papoter entre amis en terrasses.
Mais attention à ne pas entraver les circulations ni causer de nuisances sonores ou autres (visuelles, olfactives, ...) au quartier et à ses riverains.
Et attention aussi à ce que cela ne cache pas le risque plus fondamental de la disparition des commerces de proximité, locaux et indépendants, notamment de bouche, ni par sa plus grande visibilité, ni par le remplacement et le monopole des locaux commerciaux (notamment les plus petits et situés en milieu de rue).

Écrit par : RENAUD | 09/05/2025

Écrire un commentaire