Le Quartier Bel-Air Sud

Septième coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil :

Il y a encore quelques années, cette boutique située 111 avenue Michel Bizot était une petite boucherie de quartier.

Il paraît bien difficile en 2011 d'exploiter seul, sur une si petite surface, un commerce alimentaire qui réponde aux attentes des clients et respecte les normes sanitaires. La boutique a néanmoins toujours une vocation de proximité et est susceptible de permettre du lien social puisqu'elle abrite aujourd'hui une laverie automatique.

Nous vous souhaitons des vacances aussi agréables et bénéfiques que possible.
Mais un scoop peut toujours 'tomber'. Alors, pour être sûr de ne manquer aucune information, inscrivez-vous sans plus tarder à notre 'NewsLetter' (colonne de droite).

Sixième coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil :

Cette charmante maisonnette était le siège de l'Association Sportive de la Boule du XIIe (ASB XII). La photo date de juillet 2006. Depuis, si l'ASB XII poursuit avec succès son activité sportive, il ne reste rien de ce petit local qui a été remplacé (délibération 2009 DLH 153 du conseil de Paris) par un foyer ADOMA de 385 places de relogement provisoire à destination de foyers de travailleurs migrants.

Alors que l'affichage sur site indique mentionnait une construction précaire (cliquez sur la photo à droite), on notera que les rédacteurs ont pris la précaution d'appliquer le qualificatif provisoire au relogement plutôt qu'au bâtiment.

Si la nécessité de traiter la salubrité des foyers de travailleurs migrants ne fait pas de doute, le choix de ce lieu en lisière de bois (initialement en zone verte sur le PLU) n'est pas heureux. Que sera-t-il de ce bâtiment dans cinq ans (durée annoncée de l'opération) ?

Du paysage représenté sur la photo de 2006, seul le panneau indiquant la direction du métro a résisté.

Cinquième coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil :

La photo représentait l'angle de la rue de Picpus avec la rue de Santerre avant la construction du nouveau bâtiment de l'hôpital Rothschild qui constitue désormais son entrée principale (5 rue de Santerre).

Si l'architecture due à Bruno Gaudin est à nos yeux de belle facture, et que l'on ne regrette pas la disparition des panneaux publicitaires, il est dommage que ce carrefour soit désormais plus dense et plus minéral qu'en 2003 (date de la photo).

Quatrième coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil :

Cette vitrine hors d'âge se trouvait encore au 88 avenue du Docteur Arnold Netter en juin 1979 (date à laquelle nous avons pris cette photo). Elle est aujourd'hui occupée par une très banale agence immobilière à l'enseigne Century 21.

Pour le plaisir de Génoveva et le nôtre, nous publions ci-dessous deux plans rapprochés sur la vitrine de ce corsetier.

Cliquez sur la photo pour l'agrandir

Troisième coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil :

Exact Arnaud : la photo représente un bâtiment industriel typique qui se trouvait au 13 rue du Sergent Bauchat et a été remplacé par un immeuble austère, construit par la Cogedim et affublé du joli nom Patio Villa.

Patio Villa au 13 rue du Sergent Bauchat

Deuxième coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil :

La photo date de décembre 1988. Elle représente le jardin Charles Péguy en cours de construction.

Créé en 1989, ce jardin a une superficie de 13 045 m². Il est l'oeuvre des paysagistes Alain Gilot et Liliane Grunig-Tribel. En 2007, il a obtenu le label espaces verts écologiques. En janvier 2008, une extension du square de 2 860m² a été inauguré. 

Succès confirmé pour les nouvelles aires de jeu

Grace à l'excellente collaboration entre les élus du 12e, le conseil de quartier (porte parole des habitants), l'association Graine de Partage, et tout particulièrement, la DEVE (Direction des Espaces Verts et de l'Environnement), ce jardin a connu ces dernières années des améliorations concrètes. La fréquentation du jardin est la preuve.

Accès au sentier nature et au jardin partagé Bel-Air

Premier coup d'oeil :  

Notre précédent coup d'oeil (dernier regard en l'air) :

Genoveva, décidément en pleine forme, a immédiatement reconnu la grande horloge de la Gare de Lyon, emblème incontestable du douzième.

Source : Paris Avant qui précise :

La gare de Lyon date de 1855, mais le bâtiment actuel a été reconstruit par l’architecte Marius Toudoire après un incendie destructeur survenu pendant les événements de la Commune de 1871. Ouverte pour l’exposition universelle de 1900, la gare arbore un beffroi de 67 mètres de haut orné d’une horloge à quatre cadrans. Chacun d’entre eux mesure 6,5 mètres de diamètre et les aiguilles des minutes 4 mètres ! L’horloge a fonctionné sans interruption jusqu’à la tempête de décembre 1999, pour être remise en fonctionnement en février 2005.