Le Quartier Bel-Air Sud

Influencé comme il se doit par le nombre 12, l'Oeil du quartier a observé la diversité des portes d'entrées d'immeubles ou de maisons qui portaient ce numéro dans des rues du quartier Bel-Air Sud.

Saurez-vous identifier dans quelles rues se trouvent ces numéros 12 ?

Huitième coup d'Oeil : 

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Notre précédent coup d'Oeil :

Exact Olivier, cette porte d'entrée est bien celle de l'immeuble situé 10-12 rue de Toul.

La rue de Toul relie le boulevard de Picpus à l'avenue Daumesnil, mais cette liaison n'est possible qu'à vélo depuis l'instauration du double sens cyclable.

Elle porte depuis 1893 le nom ce cette ville de Meurthe et Moselle. Nul ne semble savoir pourquoi.

Au numéro 12, se trouve un immeuble construit il y a une dizaine d'année par l'architecte Jacques Lesuisse dont le cabinet (JL Architecture) se trouve à La Rochelle. Cet immeuble est, à nos yeux l'un des plus réussis du quartier. Avec une touche contemporaine, une belle qualité de matériaux il respecte la sinuosité faubourienne de la rue.

En face, comme l'a justement rappelé Olivier, se trouvait le CELF qui a fermé ses portes en juin 2010 (voir ici). L'emplacement est inscrit au PLU (révision de 2009) pour y recevoir un ensemble locatif de logements sociaux (voir là). Nous devrions voir prochainement à l'ordre du jour du Conseil de Paris la délibération sur un bail emphytéotique accordé à un bailleur social.

Influencé comme il se doit par le nombre 12, l'Oeil du quartier a observé la diversité des portes d'entrées d'immeubles ou de maisons qui portaient ce numéro dans des rues du quartier Bel-Air Sud.

Saurez-vous identifier dans quelles rues se trouvent ces numéros 12 ?

Septième coup d'Oeil :  

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Ce portail est bien celui du 12 rue de Lamblardie.

La rue Lamblardie, relie la place Félix Eboué à la rue de Picpus. Elle a été ainsi dénommée le 10 Août 1868.

Précedemment rue des Moulins et antérieurement rue des Deux Moulins ou des Deux Moulins Saint-Antoine, elle est indiquée sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672).

Jacques-Elie Lamblardie, ingénieur français né à Loches en 1747 qui a œuvré sur les travaux maritimes, a dirigé l'École des ponts et chaussées, puis fondé et dirigé l'École polytechnique.

Il est décédé à Paris le 26 décembre 1797. Son fils Antoine Elie Lamblardie est devenu Inpecteur général des Travaux maritimes.

Influencé comme il se doit par le nombre 12, l'Oeil du quartier a observé la diversité des portes d'entrées d'immeubles ou de maisons qui portaient ce numéro dans des rues du quartier Bel-Air Sud.

Saurez-vous identifier dans quelles rues se trouvent ces numéros 12 ?

Sixième coup d'Oeil :  

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Ce portail semble avoir été photographié dans une rue de banlieue. Pas étonnant quand on reconnaît que c'est celui du pittoresque passage Chaussin.

Long de 134 mètres et large de 3, le ce passage a été ouvert en 1884. Il porte le nom de M. Chaussin, propriétaire du terrain attenant lors de la percée de la voie.

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Saurez-vous identifier dans quelles rues se trouvent ces numéros 12 ?

Cinquième coup d'Oeil : 

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Cette porte est celle de l'entrée de l'immeuble sis au 12 rue de Santerre.

Antoine-Joseph Santerre (1752-1809), homme politique français, brasseur, commandant de la garde nationale de Paris pendant la Révolution sera chargé de conduire le roi Louis XVI à l'échafaud le 21 janvier 1793.

Santerre habitait au début de la rue de Reuilly. Une plaque est apposée au 9 rue de Reuilly.

La rue de Santerre qui a été ouverte en 1897 et ainsi dénommée en 1905 s'appelait précédemment rue du Touat.

Influencé comme il se doit par le nombre 12, l'Oeil du quartier a observé la diversité des portes d'entrées d'immeubles ou de maisons qui portaient ce numéro dans des rues du quartier Bel-Air Sud.

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Quatrième coup d'Oeil : 

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Cette porte surmontée d'une élégante marquise vous accueille au 12 rue Ernest Lacoste.

Ouverte en 1914 entre le 107-111 boulevard Poniatovski et le 151 rue de Picpus, la rue Ernest Lacoste s'est vue attribuer le nom de l'un de ses propriétaires.

La rue Ernest Lacoste comporte un ensemble de villas à deux étages avec jardin, de style éclectique. Toutes possèdent des caractéristiques similaires : une travée traitée en avant-corps, mise en valeur par des bossages et un garde-corps à balustres au premier étage. Détail charmant : la toiture en ardoise percée d’œils de bœuf et de lucarnes.

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Saurez-vous identifier dans quelles rues se trouvent ces numéros 12 ?

Troisième coup d'Oeil : 

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Vous avez peut-être reconnu la porte d'entrée du 12 rue du Colonel Oudot. Il est néanmoins possible que vous ne connaissiez pas l'histoire de cette rue et en particulier de sa dénomination actuelle. La voici :

En 1868, le baron Haussmann, préfet de la Seine, avait fait signer à Napoléon III un décret donnant le nom de « rue Oudot » a une rue du 18e arrondissement de Paris entre la rue des Poissonniers et la rue du Poteau. Par arrêté préfectoral du 1er février 1877, cette dénomination disparut et la rue Oudot est absorbée par la rue Championnet, dont elle devient le prolongement.

Une pétition fut alors adressée au préfet de la Seine, pour réclamer que le nom du général Oudot soit de nouveau donné à une rue de Paris. Cette pétition parvenait à l'autorité préfectorale en même temps qu'une pétition d'habitants de la rue de l'Épinettes situées dans le lieu-dit des Coucous qui se plaignaient de l'appellation et souhaitaient un changement de nom.

La rue prend finalement le nom de rue du Colonel-Oudot et non rue du Général-Oudot, car les états de services officiels de Oudot ne mentionnaient pas son titre de général. Le décret qui lui conférait ce grade n'avait pu être publié en temps utile à cause de la mort de l'intéressé lors du siège de Paris le 30 mars 1814. Pour transiger, on avait proposé d'appeler tout simplement la rue litigieuse « rue Oudot ». Les bureaux de l'Hôtel de Ville s'y opposèrent, en alléguant que cette dénomination engendrerait des confusions avec la rue Houdon.

Influencé comme il se doit par le nombre 12, l'Oeil du quartier a observé la diversité des portes d'entrées d'immeubles ou de maisons qui portaient ce numéro dans des rues du quartier Bel-Air Sud.

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Deuxième coup d'Oeil :

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Bien vu Arnaud, il s'agit effectivement de la porte d'entrée de l'immeuble sis au 12 rue Sidi Brahim.

Cet immeuble, comme la quasi totalité de ceux du côté pair de la rue, a été construit en 1894 par l'architecte G. Goy.

La rue Sidi Brahim porte le nom Village d'Algérie (province d'Oran) où, en 1845, 450 Français, attirés dans un guet-apens, se firent massacrer jusqu'au dernier plutôt que de se rendre (1845).

Précédemment, elle se nommait rue Cousté (nom d'un propriétaire).

La rue Sidi Brahim en direction de la rue de Picpus

Influencé comme il se doit par le nombre 12, l'Oeil du quartier a observé la diversité des portes d'entrées d'immeubles ou de maisons qui portaient ce numéro dans des rues du quartier Bel-Air Sud.

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Premier coup d'Oeil :

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Ces paisibles pêcheurs étaient tout simplement en vacances dans notre arrondissement, plus précisément au bord du bassin de l'Arsenal.

Construit au 19e siècle, parallèlement aux travaux des canaux de l'Ourcq, St Martin et St Denis, le port de l'Arsenal a d'abord été un fossé au 14e siècle qui servait de moyen de défense contre les assauts enemis. Au 16e et 17e siècles, le fossé de l'arsenal est devenu un bassin à flot pendant les périodes de crue du fleuve, et aménagé pour le commerce ou les besoins militaires.

Depuis 1983, le Port de Plaisance de Paris Arsenal propose, à l'année, au mois ou à la journée, près de 180 postes d'amarrage pour des bateaux de 6 à 25 m, et offre tous les services portuaires indispensables.

Son jardin, aménagé sur un hectare et agrémenté d'une roseraie, de pergolas, d'aires de jeux pour enfants, contribue, avec la proximité de l'eau, à faire de ce site un lieu de promenade bien agréable.

Nous espérons que vous avez passé des vacances agréables et profitables.

Comme vous et vos enfants, notre blog effectue aujourd'hui sa rentrée bien qu'il n'ait en vérité pas tout à fait fermé.

Pour preuve, nous avons publié 19 articles en juillet et 15 en août ; de votre côté,  vous avez formulé 6 commentaires en juillet et 13 en août.

Vous nous avez rendu en moyenne 451 visites quotidiennes en juillet et 394 en août.

Vous craignez d'avoir manqué une information ? Nous vous invitons à parcourir la liste des publications d'été : ici celle de juillet et là celle d'aôut.

bonne rentrée !

Comme vous, nous l'espérons, l'oeil du quartier prend quelques jours de vacances. Il est allé voir comment l'on vivait dans d'autres villes du monde.

Saurez-vous reconnaître ces villes à l'examen des photos que nous publions ?

Sixième destination de l'été 2012 :   

Ou se trouve aujourd'hui l'Oeil du quartier ?

Notre précédente destination :

Davantage de transports en commun et de vélos que de voitures. C'est à Copenhague, capitale du Danemark que ça se passe et que l'observait l'Oeil du quartier la semaine dernière.

Copenhague est la ville du monde la plus accueillante pour les cyclistes et les piétons.

Pour favoriser l'utilisation de la bicyclette. 400 km de pistes cyclables existent dans quasiment toute la ville, et des vélos publics sont disponibles gratuitement de mai à octobre. Chaque jour, 1,2 million de kilomètres sont parcourus à vélo à Copenhague.

36 % des habitants de la ville vont au travail, à l'université ou à l'école à vélo. L'objectif des autorités est de dépasser 40 % en 2012 et 50 % en 20155.

Depuis 2010, aux heures de pointe, les feux des principaux axes sont réglés sur la vitesse des cyclistes !

Au Dannemark, les vélos sont bienvenus dans les trains

Le magazine L'Internaute nous donne 10 bonnes raisons de passer deux jours à Copenhague