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16/05/2006

Atout Livre reçoit Franz Bartelt

La librairie Atout Livre vous invite Jeudi 18 mai 19h30 à une 'grande soirée' avec Franz Bartelt écrivain et marcheur à plein temps par tous les temps.

Ses tiroirs regorgent de romans, il en a publié quelques uns ...
Le bar des habitudes,
Le jardin du bossu,
Les bottes rouges,
Charges comprises
....

Parmi de nombreux articles traitant de Franz Bartelt :

  • Poésie, théâtre, nouvelles, chroniques, feuilletons, romans... Franz Bartelt ne noircit pas moins de 2 000 feuillets par an. Avec talent (L'Express Livres)
  • Un Simenon d’aujourd’hui ? Franz Bartelt (L'Humanité)
  • Franz Bartelt fait basculer le quotidien et livre seize nouvelles douces et décalées.(Lire)

  • 13/05/2006

    Rebonds

    Les récents événements de la semaine montrent la difficulté pour un quartier, voir un arrondissement à appréhender le phénomène Forain:

  • Grévistes puis manifestants, le spectacle donné par les organisateurs de la Foire du Trône a été extrêmement contradictoire : bon enfant pour les uns avec discussion et distribution de pomme d’amour, violent pour les autres avec bris et casse aux alentours de la Porte Dorée.
  • Les Forains réclament le retour de la Foire du Trône dans la cité. Nous avions récemment présenté un ensemble de documents aimablement prêtés par une famille de forains lors de notre animation Mémoire de Quartier sur la Foire du Trône. La plupart des attractions se trouvaient jusqu'à la fin des années 60, tout au long du Cours de Vincennes et la circulation automobile était alors cantonnée aux contre-allées. Les attractions débordaient également dans les rues avoisinantes autour de la Nation.
  • Un retour de la Foire du Trône au cœur de la ville est-il possible aujourd’hui ? Les attractions proposées, toujours plus imposantes semblent difficilement conciliables avec la circulation automobile de Paris : condamner l’entrée et la sortie de la Porte de Vincennes le temps de la Foire du Trône ? Est-ce réalisable? Encore faudrait-il que les Forains respectent leurs engagements et l’on revient là sur une situation récente qui a généré de nombreux commentaires sur notre Blog.
  • Pour pouvoir discuter de perspectives d’avenir, encore faut-il qu’il y ait un minimum de confiance entre les différentes parties. Dans le camp des Forains, on retrouve M.Marcel Campion qui ne demande qu’à « faire son métier ». C’est peut-être là que le bas blesse car, si l’on se reporte à un passé pas si lointain, M. Campion décoré de la Légion d’Honneur à la fin de l’année 2004, a déjà eu l’autorisation d’exploiter une attraction au cœur de Paris : La grande roue de l’an 2000.
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    Lorsque l’on connaît toutes les difficultés qu’il y a eu pour que cette attraction "provisoire" puisse être démontée, il apparaît difficile de mener des négociations sereines sur une nouvelle implantation des attractions foraines dans Paris après une telle expérience.

    Yves Ortega
    Conseiller de Quartier

  • 18/04/2006

    Gravures et Littérature

    Les cimaises d'Atout-Livre exposent les œuvres de Florence Hinneburg.
    Florence Hinneburg, qui par son art (la gravure) et par son écriture, mêne une enquête poignante sur ce passé familial enfoui a publié La chambre aux pommes, l’histoire d’une correspondance retrouvée. Œuvres plastiques et littérature font donc cause commune jusqu’au 2 mai.
    Pour retrouver les animations à venir de cette dynamique librairie, cliquer sur le lien suivant.

    25/03/2006

    Economie et Activités Culturelles

    Atout-Livre se positionne comme un acteur majeur de l’animation culturelle de notre quartier. En recevant de manière très régulière des écrivains, en organisant conférences, débats et expositions, les responsables et l’équipe de cette librairie participent pleinement à la vie de notre quartier. Hier, Dominique Lesbros,

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    l’auteur de "Paris mystérieux et insolite "a présenté son ouvrage et s’est soumis à une traditionnelle séance de signature.
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    Atout-Livre présente un programme d’animation qui s’étoffe régulièrement. Ses initiatives permettent à un quartier d’avoir un lieu d’ancrage et de rencontre pour les habitants. Il faut rappeler que cette vitalité propre à cette librairie est aussi l’œuvre d’une politique qui a protégé les libraires et il est bon de rappeler que la Loi LANG a réellement permis de préserver les libraires de quartier, on voit par là que lorsque le politique investi intelligemment le terrain de l’économie, il peut durablement influer sur une activité. Chez Atout-Livre, les vendeurs sont facilement accessibles, compétents, il n’est pas du tout sûr que sans la protection de la Loi LANG, nous aurions encore la possibilité d’acheter nos livres dans une librairie de qualité et il nous faudrait sans doute nous fournir dans des linéaires absents de toute présence accueillante. Une activité comme celle développée par cette libraire et non seulement utile pour les habitants mais également génératrice d'emplois; pour toutes ces raisons, le Conseil de Quartier soutient les initiatives de cette librairie et vous invite à participer aux nombreuses animations qui y sont proposées.

    15/03/2006

    Un rendez-vous à noter dans vos tablettes

    À l’occasion du Printemps des Poètes, la librairie Atout Livre organise une soirée POESIE et MUSIQUE, le vendredi 17 mars à 19h30 avec Philippe TANCELIN, docteur en philosophie, directeur du Centre International de Créations d'Espaces Poétiques, Jocelyne KISS cantatrice et Delphine CHOMEL, pianiste.
    Les cimaises de la librairie exposent, du 1er au 20 mars, les oeuvres de Christel Espie.

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    Ses acryliques illustrent l'album: "Le garçon qui voulait devenir un être humain" de Jorn Riel, paru aux éditions Sarbacane.
    Nous saluons les initiatives de cette librairie qui ne se contente pas d’être un point de vente traditionnel mais qui donne à voir et à réfléchir et qui est l’un des points d’animation de la vie culturelle de notre quartier.

    08/03/2006

    Une expo dans un garage

    Une expo dans un garage. Une expo de voitures ? Vous n'y êtes pas : le garage Claude (4, rue du Colonel Oudot) vous invite à une expo de peinture.

    Samedi 11 Mars de 14h à 19h
    Dimanche 12 Mars de 10h à 18h

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    Le conseil de quartier, qui encourage tout ce qui peut favoriser la vie de quartier, est enthousiasmé par cette initiative. Courrez-y !

    04/03/2006

    Commerces, civisme et territoires

    La présentation des travaux du Conseil, lors de la réunion publique du 28 février dernier, a donné lieu à de multiples interventions du public, l'une d'entre elles portait sur le rôle des commerçants dans la vie de quartier. Le Conseil est totalement en accord avec l'importance pour un quartier, d'avoir un choix large et varié de boutiques, de commerces. Nous avons bien mis en avant ce point et la demande des habitants du secteur de la Porte Dorée de voir se développer les commerces de proximité lors de nos travaux sur le P.L.U et nous sommes les premiers à supporter toute initiative allant dans le sens de l'animation de nos quartiers.
    La nature des travaux sur le Plan de déplacement étant différente de celle du P.L.U, nous nous sommes attaché à développer les points qui entravent, d'une manière large, les déplacements dans notre quartier.
    Un commerçant qui utilise le trottoir pour se garer,

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    des équipements publicitaires qui débordent largement sur ce qui est permis, c'est le constat d'une utilisation, d'une appropriation de l’espace public en vue de son utilisation commerciale.
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    Mais qu’est-ce qui est réellement permis ? Pour l’un, il est d’usage d’utiliser les « un mètre de trottoir » le long de son commerce pour y déposer des présentoirs publicitaires, pour l’autre, c’est la largeur de son store qui lui permet de conquérir quelques mètres supplémentaires, y compris les mois d’hiver lorsque le store est au repos.
    Nous avons récemment demandé l'intervention des élus pour que cesse, rue Louis Braille, l’utilisation d’un trottoir étroit qui sert de « garage » pour une activité de livraison de plats cuisinés d'un restaurant.
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    Ces situations d’incivilités « commerciales » se retrouvent dans toutes les rues de notre quartier et sans doute de Paris. Si l’on écarte les raisons de pur opportunisme qui sont habituellement avancées : « J’en ai besoin car mon magasin est trop petit », « Personne ne se plaint... », « si je ne peux utiliser ces deux places de parking, je ne pourrais plus travailler dans Paris sans cette condition »
    Ces incivilités posent un certain nombre de problèmes, tout d'abord pour les personnes à mobilité réduite mais plus généralement pour l'ensemble des usagers de l'espace public. Ces incivilités mettent en relief la difficulté de mettre en relation pouvoir économique et pouvoir politique dans le sens où c’est ce pouvoir qui régit la vie de la Cité.

  • Le premier problème est juridique : qu’est-ce qui est d’usage ?, qu’est-ce qui est légal ? un mètre, deux mètres de large ? rien ? Qui donne l’autorisation ?

  • Le suivant est économique: dans quelles conditions autorise-t-on l’emprise commerciale sur le domaine public ? Pour quels avantages pour la ville et pour les commerçants?

  • Le troisième relève de la politique de la ville et de l’histoire de Paris : qui régule lorsqu’il y a écart ? quelle instance sanctionne?

    Finalement, nous nous retrouvons devant un problème général de la complexité de notre Cité: qui détient l'information en matière de règles et qui intervient?: les Elus? les Directions Techniques de la Ville de Paris? la Préfecture de Police?

    En parallèle de ces questions de régulation, il y a les habitants, les usagers des espaces publics et les clients. Ceux-ci ont une expertise de quartier, ils savent ce qui est gênant, ce qui est utile dans leur quartier, ce sont eux qui vont décider de la réussite ou de l’échec de l’implantation d’un nouveau commerce.
    On peut relever que beaucoup de commerçants qui s’implantent n'ont pas la connaissance du quartier, beaucoup viennent exploiter leurs magasins sur un territoire mais habitent sur un autre et une fois le rideau baissé, rentrent chez eux. Cette situation explique pourquoi il est si difficile pour les pouvoirs publics d’avoir comme interlocuteur des associations de commerçants et dans notre quartier, nous ne connaissons pas d’association active de commerçants. Pour pouvoir informer, donner les règles du jeu, la municipalité a face à elle, une myriade d’entrepreneurs dont les objectifs, la connaissance des règles, la formation et les objectifs sont tout aussi hétérogènes.
    Quels interlocuteurs trouvent ces mêmes commerçants du coté des Pouvoirs publics ? Lors du débat public sur l’aménagement de la place d’Aligre l’an dernier, nous avons pu nous rendre compte de la difficulté là aussi de trouver un discours compréhensible de la part des représentants du pouvoir.
    Lorsque le problème du stationnement « éternel » des camions de certains maraîchers a été évoqué, la représentante du service municipal chargé de donner les autorisations d’exploitation a exclu l’idée d’avoir un rôle sanctionnant vis-à-vis de ces exploitants indélicats (les véhicules ne bougent pas de la place d’Aligre et servent d’entrepôts à « loyer très modéré ») et renvoyait cette responsabilité au représentant de la Police qui, de son coté, indiquait n’avoir pas les moyens de déplacer ces véhicules.
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    Face à une situation parfaitement illégale, certainement pas très hygiénique et injuste vis-à-vis des autres commerçants qui ne disposent pas de ces véhicules immobiles pour stocker leurs produits, les représentants du pouvoir n’offraient face au public aucune perspective, restant sur leur position en faisant montre de leur incapacité respective à proposer des réponses à un problème concret. Cette dissension « locale » entre les différentes instances du pouvoir a une explication politique, une histoire qui rejoint celle de Paris.
    Deux problèmes principaux ne sont pas résolus pour mettre en œuvre une politique cohérente dans la capitale :

  • Le premier, c’est le centralisme de l’Hôtel de Ville : autoriser un café de développer une terrasse sur un trottoir dépend aujourd’hui d’un service central et non pas de la Mairie d’arrondissement. Pourtant, celle-ci, par sa proximité, sa connaissance des lieux et ses Conseils de Quartier sait que le trottoir à cet endroit est très fréquenté, étroit, sur le chemin d’une crèche, etc.
    La décentralisation à Paris, Lyon et Marseille est imparfaite, elle ne donne pas suffisamment de moyens d’action aux élus d’arrondissement.

  • Le second, c’est le fait que les services de police ont des priorités qui sont définies par le préfet et que ces objectifs ne sont pas forcément ceux des élus municipaux. La sanction des incivilités ne semble pas être à l’ordre du jour dans Paris ce qui nous renvoie au problème de la propreté déjà évoqué sur notre Blog. On retrouve là encore, l’héritage de la centralisation et l’Etat, par l’intermédiaire de la Place Beauvau, souhaite garder l’œil (et le bon) sur ce qui se passe à Paris...

    On peut donc promettre encore de beaux jours pour les trottoirs souillés et les annexions commerciales de l’espace public si les habitants, les commerçants et les pouvoirs publics ne mettent pas, ensemble un peu de bonne volonté en la matière...

  • 06/02/2006

    Service compris

    Nous vous entretenions il y a quelques jours des commerces en cours de mutation ou de rénovation dans notre quartier . Il est trop tôt pour conclure, mais en regardant ces mêmes commerces et d'autres du quartier, il apparaît nettement que les activités de services prennent de plus en plus une place prépondérente.
    Pour illustrer cette tendance :

  • L'agence immobilière Visa du 108 av. Michel Bizot est remplacée par Acadomia (entreprise de soutien scolaire),
  • L'Auberge des Troennes devenue le Bistrot 102 semble plus ouvert sur le quartier que son prédécesseur.
  • Propr A Dom (entreprise d'aide à domicile) vient de s'installer au 4 rue Louis Braille
  • Les retoucheries (113 av M. Bizot, 102 av M. Bizot, 6 av A. Netter), Dog Récré (116 av M. Bizot) et Allo Plus Dépannage (100 av M. Bizot) tous installés depuis quelques temps déjà, relèvent également de cette vague de services.

    Avenue Daumesnil, l'exception qui confirme la tendance :
    D'après nos informations, l'ex-BRED (au 223 av Daumesnil) va prochainement être remplacée par un Optical Center.
    Voilà qui prouve au moins que les pistes cyclables ne nuisent pas à la concurrence !

    Si certains regrettent que les commerces de service ne sont pas de ceux ou l'on se rend chaque jour et ou l'on parle de la pluie et du beau temps avec le parton, il faut reconnaitre que la vie du quartier en bénéficie davantage que de certaines boutiques transformées en bureaux ou d'ateliers qui se cachent des regards derrière un rideau.

  • 26/01/2006

    Des bambous sur la place Sans-Nom

    Non, ne rêvez pas, la Direction des Parcs, Jardins et Espaces Verts (DPJEV) n'a pas entrepris la végétalisation de la place Sans-Nom que nous demandons depuis bien longtemps. Les bambous en question sont ceux du magasin Art Bambou (à présent situé 7, rue du docteur Goujon) qui s'installe sur la place (ouverture le 14 février).

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    Cette arrivée nous donne l'occasion de rappeler que nous attendons également que la Direction de la Voirie et des Déplacements (DVD) installe devant le 92bis rue de Picpus la zone de parking deux-roues promise qui marquera la limite du stationnement autorisé.

    11/01/2006

    Monoactivté : mission de la SEMAEST

    Certains d'entre-vous ont peut-être remarqué sur la devanture d'une boutique vide au 129 rue de Charenton le calicot ci-dessous :

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    La Ville de Paris a en effet confié en décembre 2003 à la SEMAEST, Société d’économie mixte de la Ville, la mission de lutter contre la monoactivité commerciale dans six secteurs de Paris (*) dont le quartier Daumesnil-Montgallet. L’objectif est de diversifier les commerces et de favoriser l’implantation de commerces de proximité. La situation est particulièrement critique dans le secteur Sedaine-Popincourt ou plus de 400 grossistes en confection ont pris la place des activités traditionnelles nécessaires à la vie du quartier.

    Il est prévu que, dans une période de 3 ans, la SEMAEST acquière 15 000 m² de locaux sur Paris et qu’elle les loue à des artisans et commerçants pour ensuite leur céder ces locaux à partir de 2009 et jusqu’en 2013.

    Le plus difficile pour elle reste de trouver les commerçants susceptibles de reprendre ces commerces. Rares sont malheureusement les commerces alimentaires qui ont choisi de s’installer dans ces zones où ils manquent pourtant cruellement. Les artisans (coiffeur, orfèvre, designer) sont pour l’instant plus nombreux.

    Nombre d'entre-vous déplorent la disparition progressive des commerces de proximité (d'alimentation en particulier) avenue Daumesnil au profit des Agences Immobilières, Banques, Opticiens. Cette situation toute regrettable qu'elle soit ne peut s'apparenter à de la monoactivité. Elle n'entre donc pas dans le champ de prérogatives de la SEMAEST.

    Sources :
  • Mairie du 11ème
  • Mairie du 3ème
  • Association de Sauvegarde du Quartier des Gravilliers
  • 20minutes

    (*) Sedaine-Popincourt (11e), Belleville (20e), Fontaine au Roi (11e), Gravilliers (3e), Daumesnil-Montgallet (12e) et rue Saint-Denis (1e et 2e).

  • 14:00 Publié dans Commerces | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Paris 12ème