Le Quartier Bel-Air Sud

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Ils comptent sur nous !

L’EFET, école d'architecture intérieure et de communication visuelle, organise vendredi 11 mars 2016 (de 14h à 20h) et samedi 12 (de 10h à 20h) des journées portes ouvertes pour permettre à ceux qu'intéresse l'audiovisuel, la photographie ou l'architecture intérieure, de visiter, d'observer et de poser toutes leurs questions aux professeurs et étudiants présents.

Vous pourrez vous informer sur les métiers, les formations, les conditions d'admissions, l'organisation des cours, les diplômes à travers des ateliers, des expositions, des conférences, des plateaux TV.

Deux sites à visiter :

Notre arrondissement est desservi par 5 lignes et 18 stations de métro. Parmi ces 5 lignes, se trouvent la plus ancienne (la ligne numéro 1) et la plus récente (la ligne 14).

L'Oeil du quartier vous invite pour quelques semaines à observer et reconnaître les bouches de métro de l'arrondissement.

Dixième coup d'oeil : 

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Quelle est cette station de métro ? où se trouve cette bouche ?

Notre précédent coup d'oeil :

Cette bouche de métro qui se trouve au niveau du 44 boulevard de Bercy, est celle où tout naturellement tentent d'entrer les voyageurs en provenance de la gare de Paris-Bercy.

Quelle déception quand après avoir du sortir de la gare, affronter les intempéries et l'ascenseur, ils constatent qu'ils y sont malvenus :

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Cette bouche, en effet permet d'accéder à l'une des extrémités du quai de la station Bercy sur la ligne 6 en direction de l'Etoile. Pour se diriger vers la Nation ou emprunter la ligne 14, ils devraient parcourir tout le quai. C'est la raison pour laquelle l'accès au métro par cette bouche est très restreinte et qu'ils devront continuer leur marche jusqu'à la place du Bataillon du Pacifique qui n'est pas non plus très accueillante ces derniers temps.

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Nous reviendrons prochainement sur les travaux en cours et les améliorations attendues.

La place du Bataillon du Pacifique n'en est pas à ses premières meurtrissures : en 1910, les inondations avaient entraîné un effondrement de la dalle du métro.

Comme nous le faisons de temps à autre, nous vous invitons aujourd'hui à nous accompagner pour un tour du quartier orienté vers les locaux commerciaux : ceux qui ont bougé, ceux qui bougent et ceux en qu'on aimerait voir bouger.

Avenue Daumesnil, s'il n'est pas nécessaire de revenir sur la stupéfiante ouverture au 217, on remarquera davantage l'arrivée au 209 de Monsieur le fleuriste qui à pris la boutique précédemment occupée par Pierre Invest.

Au numéro 205 où se trouvait l'agence Promovacances, un un commerce de mode, bijoux et accessoires à ouvert depuis le 1er mars sous l'enseigne Alan Park précédemment située au 105 rue de Charenton.

Au 203 la boutique de vêtements Anne-Paule est définitivement fermée.

Place Félix Eboué : on s'active au numéro 5 pour transformer l'agence Général Electric Money Bank en laboratoire de biologie médicale et au 46 boulevard de Reuilly pour rénover le supermarché Simply Market dont la vétusté l'avait rendu engageant. Réouverture annoncée pour demain 9 mars.

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Si la concurrence entre les supermarché ne porte que modérément sur les prix, il semble qu'elle s'exerce sur la qualité des espaces et services qu'ils offrent à leurs clients. C'est vraisemblablement dans ce but que le Franprix du 276 av Daumesnil a récemment entrepris d'importants travaux.

Boulevard Soult, le restaurant rapide Face Boof aura existé moins de deux ans. De l'autre côté du boulevard, une belle surface, souvenir de la période tout auto attend d'être occupée.

Avenue Michel Bizot, si rien n'a bougé au 116 depuis la fermeture de Dog Récré, au 114 l'agence Constance est remplacée par un institut de beauté à l'enseigne Histoire d'un Regard. Tout un programme !

Pour faire vivre la facette dialogue de ce blog qui s'affirme blog citoyen d'information et de dialogue des habitants du quartier et au-delà, nous vous invitons chaque mois à nous faire part des réflexions que vous inspire une question.

La question du mois de mars : 

Pensez-vous maitriser et observer
les règles de tri
des déchets ménagers ?

Il n'est pas loin le temps où les Skateboards (planches à roulettes) et les rollers (patins à roulettes) terrorisaient les piétons. Aujourd'hui, de cette génération de véhicules, il ne reste quasiment que les trottinettes principalement utilisées par les collégiens.

Devant le collège Courteline (av du Dr Arnold Netter)

Technologie et marketing obligent, ces engins quelque peu rustiques sont en voie d'être supplantés par des véhicules électriques appelés gyropodes et plus ou moins dérivés du Segway commercialisé depuis 2001. 

Les gyropodes se sont miniaturisés, diversifiés et surtout multipliés, car leur prix est beaucoup plus accessible que celui des Segway. Il est plus que vraisemblable que vous en ayez déjà croisé. 

Ces engins peuvent atteindre 22 km/h, voire plus s’ils sont débridés, et il n’est pas obligatoire de suivre une formation pour les acheter. Mais ont-ils seulement le droit d’être sur les trottoirs ?

Oui répondent les professionnels du secteur : la roue gyroscopique, à l'instar des gyropodes et des trottinettes électriques, est tolérée sur les trottoirs, bénéficiant du statut d'"accessoire piéton.

Absolument pas affirme l'association Les droits du piéton qui précise que le Journal officiel  définit les gyropodes comme des véhicules motorisés. Et les véhicules motorisés n’ont pas le droit de circuler sur les trottoirs.

Sous condition dit la préfecture de Police de Paris : Comme les trottinettes, les gyropodes sont interdits sur la chaussée mais tolérées sur les trottoirs en dessous des 6 km/h.

En France, ces nouveaux moyens de transport évoluent dans un flou juridique. Les gyropodes ne sont pas nommément cités dans le code de la route.

Et pourtant :

S'ils sont conduits à vitesse raisonnable par des personnes respectueuses des piétons qui les entourent, ces véhicules sont-ils plus dangereux sur les trottoirs que certains fauteuils roulants électriques parfois conduits par des personnes handicapées, mais pressées ?

C'est une fois encore, une question de savoir vivre ensemble ...

Dimanche 6 mars 2015, va se dérouler la 23e édition du Semi-marathon de Paris. Le départ aura lieu à partir de 9h00 sur l'Esplanade du Château de Vincennes. L'arrivée aura lieu également sur l'esplanade du château de Vincennes.

Ce parcours de 21,1 km se situe en grande partie dans notre arrondissement. Entre 10h et 13h, votre rue en sera peut-être le théâtre.

Le semi-marathon de Paris, c’est aussi et surtout l’occasion pour toutes les générations de profiter pleinement de l’ambiance d’un événement sportif, mais également de ses nombreuses animations.

Et dans à peine plus d'un mois, dimanche 3 avril, ce sera le tour de son grand frère : le Marathon de Paris.

Notre arrondissement est desservi par 5 lignes et 18 stations de métro. Parmi ces 5 lignes, se trouvent la plus ancienne (la ligne numéro 1) et la plus récente (la ligne 14).

L'Oeil du quartier vous invite pour quelques semaines à observer et reconnaître les bouches de métro de l'arrondissement.

Neuvième coup d'oeil : 

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Quelle est cette station de métro ? où se trouve cette bouche ?

Notre précédent coup d'oeil :

Cette bouche de métro se trouve devant le numéro 87 de l'avenue Ledru-Rollin. Elle est l'une des 4 doubles qui permettent d'accéder à la station du même nom de la ligne 8.

La station Ledru-Rollin est située en limite des 11e et 12e. Elle a été ouverte le 5 mai 1931 dans le cadre de l'extension de la ligne entre Richelieu-Drouot et porte de Charenton. En 2013,  3 917 141 voyageurs sont entrés à cette station ce qui la place en 128^e position des 303 stations de métro parisiennes.

L'une des 4 entrées, la plus éloignée du carrefour Ledru-Rollin, se trouve devant le passage du Chantier et l'immeuble du cabinet d'architecte Jean-Michel Wilmotte.

On remarquera qu'au carrefour de l'avenue Ledru-Rollin et de la rue du Faubourg Saint Antoine, les bouches du métro mettent en oeuvre 3 visuels différents.

• rue du faubourg Saint-Antoine, devant le 68 comme devant le 100, la station arbore un mât Dervaux
• devant le 90 av Ledru-Rollin, la station est signalée par un mât M jaune entouré d'un double cercle
• devant le 87 av Ledru-Rollin se trouve un mât atypique datant des années 70 et qui a semble-t-il perdu un peu de ses couleurs d'origine.

Pauvres visiteurs qui tentent sur des trottoirs étroits et encombrés de repérer où se trouve l'entrée du métro !

En ligne depuis le 24 juin 2015, la nouvelle version de Paris.fr, le site internet de la Mairie de Paris, a assurément gagné en esthétique, en ergonomie et en réactivité.

En revanche, comme à chaque refonte d'un site internet, on constate un important appauvrissement du contenu. Pas étonnant quand on lit que l'on serait passé de 4000 pages sur 8 niveaux à 300 pages sur 3 niveaux.

Du côté des sites d'arrondissement, alors qu'il y a un an nous regrettions de pas les voir inclus dans cette rénovation, Emmanuel Grégoire (Adjoint à la Maire de Paris en charge des Ressources Humaines, des services publics et de la modernisation de l’administration) nous faisait savoir que leur évolution était bien prévue dans la continuité de celle de Paris.fr, mais que cela prendrait un peu plus de temps afin de bien affiner les besoins spécifiques et complémentaires.

Puisqu'au mieux, ce chantier est en cours, qu'il nous soit permis d'avancer quelques caractéristiques et fonctionnalités que nous aimerions y trouver :

• un site d'arrondissement devrait apparaître comme le prolongement local du site de la ville dont la filiation devrait être évidente pour tous les visiteurs grâce à de nombreux liens entre les deux. N'est-il pas curieux de trouver cette page sur le site de l'Office de Tourisme et nulle part sur Paris.fr

• des Une fréquemment mises à jour et annonçant en quelques lignes tous les sujets d'actualité avec des liens vers la page de détail. La Une actuelle est d'une déplorable indigence.

• le regroupement sur un même agenda de tous les événements développés à l'intérieur du site : réunions publiques, manifestations culturelle, associatives, spectacles, réunions et animations des conseils de quartier ... l'agenda de la Maire qui est une heureuse innovation de la mandature restant indépendant.

• un moteur de recherche qui donne systématiquement des résultats triés par ordre chronologique. Aujourd'hui, on obtient souvent de meilleures réponses en cherchant sur Paris.fr (où certains sujets sont traités plus complètement) ou même directement sur un moteur de recherche indépendant (quitte à revenir sur une page du site de l'arrondissement).

• une arborescence révisée raccourcie et visible d'un seul coup d'oeil comme c'est le cas sur Paris.fr

• la pérennité des articles publiés sur le serveur afin de retrouver l'historique des événements. La gestion actuelle génère de nombreux liens cassés par suppression d'articles.

Compte tenu de ses faiblesses actuelles, on peut penser que la fréquentation du site de l'arrondissement doit beaucoup à sa newsletter qui incite par des liens à le consulter. Ainsi utilisé, il apparaît plutôt comme un organe de publication (à l'instar d'un journal, d'un blog ou d'un media social) au détriment sa fonction première qui devrait être la mise à disposition d'une base de donnée complète et fiable des lieux, événements et services de l'arrondissement.

On ne pourra cependant se suffire de fonctionnalités. Nous sommes conscients que notre attente repose également sur l'organisation et les moyens humains mis en oeuvre pour sélectionner, rédiger et publier les informations.

Au moment où le projet de réforme du statut de Paris laisse miroiter une plus grande autonomie des arrondissements, il serait regrettable que les sites d'arrondissements apparaissent comme les oubliés de l'Hôtel de Ville.

Comme annoncé dans notre article du 5 juin 2015 Les ensembles sociaux du siècle dernier, nous poursuivons la visite de quelques ensembles d'habitation de l'arrondissement construits après la seconde guerre mondiale.

Le square Georges Contenot est un réseau de voies privées multiples créées en 1954 et parcourant l'espace d'un ensemble d'habitations à bon marché situées entre la rue Claude-Decaen, la rue de Gravelle et la rue de la Brèche-aux-Loups. Il doit son nom à Georges Contenot (1868-1948) qui fut conseiller municipal de Paris et responsable du logement social de la ville.

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À l’intérieur du square se dressent quatre tours formées de deux tripodes accolés suivant un modèle répandu en Suède dans les années 1940, permettant la mise en oeuvre de logements traversants. Leur éloignement par rapport à la rue favorise leur intégration dans l’échelle du tissu urbain environnant.