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19/05/2020

Changer d'air dans la limite des 100 km

oiseaux-hors-de-l-illustration-vecteur-cage-la-et-piloter-librement-143275385.jpgLes week-end de l'Ascension et de la Pentecôte sont traditionnellement ceux qui donnent le plus envie de changer d'air. Ce pourrait être pour chacun d'entre-nous l'occasion de quitter le quartier ne serait-ce qu'une journée tout en respectant bien sûr les consignes du gouvernement. Depuis le 11 mai en effet, les déplacements sont autorisés dans un rayon de 100 km à vol d'oiseau.

Pour savoir jusqu'où aller sans risquer de prendre une amende, nous avons bien évidemment pris la place Sans-Nom comme point central du 12e arrondissement.

Source esri France : Afficher en plein écran

parisEt si vous manquez d'idées pour choisir une destination, profitez des e-guides que vous offre gratuitement Le Petit Futé et plus particulièrement celui 100 km autour de Paris.

15/05/2020

Trente millions de touristes à Paris, combien dans le 12e ?

Pendant que certains journaux font leur Une sur les 50 millions de touristes accueillis en Île de France en 2019, d’autres titrent de manière provocatrice Y a-t-il trop de touristes à Paris ?. Certains vont même jusqu'à se demander Faut-il vraiment continuer à célébrer l'attractivité de la région parisienne ?.

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La crise du Coronavirus affecte certes tout particulièrement l'hôtellerie, la restauration et toute l'industrie du tourisme, mais déjà auparavant le sujet était l'objet de réflexions et de discussions. Il était d'ailleurs bien présent dans les programmes des candidats aux municipales.

Si parfois, sans atteindre ce que l'on voit à Venise ou à Barcelone, le tourisme de masse affecte négativement la vie des habitants de certains quartiers parisiens, c'est pas tant le nombre de touristes, mais leur concentration dans quelques lieux qui en est la cause.

parisParmi les 15 sites d’Ile de France, les plus visités en 2019, 11 sont situés dans 5 arrondissements centraux, 3 dans les autres arrondissements et un seul (le Domaine de Versailles), n’est pas à Paris.

Pour que Paris puisse profiter de l'apport économique du tourisme sans en devoir subir les inconvénients, il faut bien évidemment déconcentrer l'offre qui se résume actuellement à Tour Eiffel, Champs Elysées, Montmartre, Marais et quelques trop rares autres lieux. Comment comprendre qu'il y a quelques mois, Sortiraparis faisait encore la promotion de la rue Crémieux !

Six années ont passé depuis notre précédent article sur le sujet (voir ici). Elles ont été marquées par une augmentation considérable de l’offre hôtelière dans le 12e. Les constructions et rénovations concernent tous les secteurs : touristes, étudiants, déplacements professionnels. Réjouissons-nous de savoir que davantage de visiteurs dorment dans notre arrondissement, mais on aimerait aussi les voir le découvrir, s'y distraire, y déjeuner …

Le plan présenté en novembre 2018 au Conseil de Paris de  prévoyait déjà en bonne place : Soutenir le développement de secteurs émergents et de nouvelles offres touristiques en dévoilant des facettes méconnues de Paris et attirer de nouvelles clientèles touristiques, désireuses de découvrir un Paris authentique.

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Soyons réalistes : aucun des monuments remarquables situés dans le 12e n'est en mesure de justifier à lui seul ne serait-ce qu'une demi-journée dans l'arrondissement. Il faut donc inventer et mettre en oeuvre de nouveaux moyens pour inciter les touristes à consacrer une part de leur séjour à notre arrondissement. Quelques idées :

Des promenades découvertes ou des visites à thème :

  • Art et architecture de la gare de Lyon à Bercy (Cour Saint Emilion)
  • Aligre et le Faubourg Saint Antoine dans le 12e
  • Des colonnes du Trône à la barrière de Picpus
  • Les traces de l'Expo coloniale
  • Découverte du bois de Vincennes et de ses lieux remarquables à vélo ou en véhicule électrique

Des événements qui attirent :

  • Le Palais de la Porte Dorée et la Cinémathèque ont démontré leur aptitude a monter des expositions qui attirent un vaste public. La ville aurait intérêt à les aider à en développer de nouvelles.
  • Regrettons que le 12e n'ait pas su retenir un salon d'antiquités comme celui de la Bastille ou de design du 20e siècle  comme la brocante du design place des Vins de France. Il serait appréciable de trouver de nouvelles occasion d'attirer les amateurs d'art et les collectionneurs.
  • Il y a une dizaine d'années la programmation de Paris Jazz Festival au Parc Floral attirait davantage de visiteurs que celle d'aujourd'hui. A méditer.

Des lieux qui justifient le voyage :

  • Un musée ou une salle d'exposition dont on parle au delà des frontières. Ne peut-on envisager sa création dans un nouveau quartier ? Bercy ou mieux (plus central et mieux desservi) Daumesnil-Gare de Lyon.
  • Le POPB est bien placé pour jumeler des spectacles populaires avec des séjours dans les hôtels du groupe Accor.
  • Une expo en plein air sur la pelouse de Reuilly (à l'image de ce qui a pu être fait sur les Champs Elysées)

Des incitations :

  • Actualiser et ré-éditer les brochures et les pages de l'Office du Tourisme de Paris consacrées au 12e
  • Oeuvrer auprès des éditeurs des guides les plus populaires en France et à l'étranger pour qu'ils mentionnent des bons plans dans le 12e.
  • Aider la constitution d'une association de Greeters (comme parisien d'un jour, parisien toujours créé en 2007 dans le 11e)
  • Alors que l'on clame les bienfaits de la proximité, n'est-il pas paradoxal que l'Office de Tourisme de Paris soit redevenu unique et central ? 

parisToutes vos idées et propositions dans ce domaine seront sans nul doute appréciées de nos lecteurs qui oeuvrent pour un tourisme économiquement profitable et socialement responsable.

N'hésitez-pas à les poster en commentaire.

14/05/2020

Notre quartier au temps des usines (4)

parisDe la fin du 18e siècle jusqu'aux années 1950-60, la ville de Paris a vécu un important développement industrielEn 1900, on comptait à Paris, des centaines d'ateliers et usines employant quelques 900 000 ouvriers dont beaucoup habitaient dans le voisinage.

Ces sites industriels étaient majoritairement implantés dans les faubourgs de la capitale. Tel était le cas de l'éntreprise Pompes Mouvex dont le siège se trouvait encore récemment au 5-7 rue du Sahel.

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parisparisMouvex est née en 1906 des rêves d’un ingénieur, Monsieur André Petit, qui a développé le principe du mouvement excentré.

Ses successeurs ont repris le flambeau, dont Monsieur Albert Petit, son fils, en 1938. 

Au fur et à mesure de sa croissance, Mouvex a acquis de nouvelles compétences (compresseurs à palettes, compresseurs à vis, pompes péristaltiques, etc..) et a progressé avec ses produits mais surtout grâce aux compétences de ses femmes et ses hommes qui ont amené savoir faire et énergies.

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Les pompes Mouvex font aujourd'hui la fierté de Blackmer U.S.A (du groupe Dover) qui en a fait l'acquisition en 1998 et a transformé une société centenaire reconnue sur le marché français en entreprise internationale.

Au 5-7 rue du Sahel s'élève depuis 2016 un immeuble privé d'habitation constitué de 32 logements (dont 8 sociaux).

08:03 Publié dans Vie du quartier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris

30/04/2020

Demain 1er mai : la tradition sous contrainte

parisChaque 1er mai, comme le veut la tradition, il est d'usage d'offrir un brin de muguet. En théorie, tout le monde peut s'improviser vendeur d'un jour.

Conformément à une longue tradition, des arrêtés municipaux permettent à titre exceptionnel aux particuliers et aux associations de vendre du muguet le 1er mai.

Cette année, en raison des mesures de confinement, la vente à la sauvette du muguet sera interdite sur la voie publique le 1er mai 2020 sur tout le territoire français. Comme les fleuristes sont fermés, vous devrez pour en acheter, vous rendre dans des commerces autorisés à la vente de produits de première nécessité, sur des marchés autorisés localement ou chez des fleuristes qui proposent la livraison ou un drive.

On ne verra donc pas cette année sur le trottoir de l'avenue Daumesnil, ce rassemblement de vendeurs "particuliers".

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Avenue Daumesnil le 1er mai 2018 (cliquez pour agrandir)

28/04/2020

Visitez le 12e avec Pablo Raison

parisPablo Raison est un jeune dessinateur, premier prix de la BD scolaire en 2018 au 45e Festival de la Bande Dessinée d’Angoulême qui s'est déjà illustré en novembre 2019 en réalisant la première carte de France figurée participative.

Il vient de publier une carte de Paris inspirée de vieux plans, unanimement saluée par la presse et les réseaux sociaux. Nous vous proposons ce zoom sur le 12e arrondissement :

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Cliquez pour agrandir

Prenez le temps d'en observer tous les détails et d'y dénicher entre autres : la colonne de la Bastille, la gare de Lyon, les colonnes du Trône, le POPB, la tour ONF, Bercy Village, le Ministère des Finances ....

23/04/2020

Le Lumière hier et aujourd'hui

Vous connaissez certainement sa façade place des Vins de France dont il occulte la vue en direction de Bercy Charenton. Peut-être aussi, l'avez-vous vu de profil au bout de la rue Baron Le Roy qui, elle non plus ne permet pas encore d'atteindre Bercy Charenton.

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Le Lumière (40 av des Terroirs de France) est aujourd’hui le plus grand immeuble privé de bureaux de Paris. Il compte sept étages supérieurs et se scinde en deux ailes reliées par un magnifique atrium. L'immeuble totalise près de 137 000 m2 de bureaux, 4 000 m2 de commerces et de restaurants, 28 000 m2 d'entrepôts et d'archives, et 1700 places de parking en sous-sol.

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Conçu par l’architecte Henri La Fonta, qui a par ailleurs réalisé plusieurs tours à la Défense, cet immeuble a été livré en 1996 sous le nom de Bercy-Expo. Il a été implanté au cœur de la nouvelle ZAC Bercy à Paris (1988-2005) dans le Quartier International du Vin et de l’Alimentaire et avait été programmé pour être le premier grand Trade Mart destiné aux professionnels du secteur agro-alimentaire et vinicole.

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Très rapidement, dans un contexte de crise, la vacance et le faible niveau des loyers - exploitation en perte - ont incité les propriétaires à reconfigurer ce bâtiment en bureaux. Cette reconfiguration impliquait d'énormes efforts sur la structure et l'ajourement de nombreux espaces (d'où le nouveau nom : Lumière) pour être conforme au code du travail.

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Il est aujourd'hui en lien avec les nouveaux usages puisqu’il est doté d’un vaste lobby, d’un service de conciergerie, d’une équipe de sécurité 24h sur 24 et d’un service de maintenance opérationnelle à distance.
Le Lumière est un immeuble multi-locataires, occupé par des entreprises et des organisations prestigieuses telles que Natixis, la SNCF, le Ministère de l’Intérieur, ING Direct et la Société Générale.

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08:11 Publié dans Vie du quartier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris

21/04/2020

La ligne 15 du métro porte de Montempoivre ?

Voilà une nouvelle qui pourrait satisfaire les lecteurs qui résident du côté de la porte de Montempoivte ainsi que tous ceux qu'une correspondance avec le T3 à ce niveau rendrait les parcours plus faciles.

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Malheureusement l'information date un peu ... Et pour ne rien arranger, il s'agit d'une pure fiction dont nous avons eu connaissance grâce au site Sprague-Thomson.com et au forum.e-train.fr. Cette photo est en effet celle d'une maquette réalisée en 2005 par Paul Cardon, nostalgique des rames de métro Sprague-Thomson.

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Sa maquette représente un bout de la ligne imaginaire numéro 15 (Porte Montempoivre - Poterne des Peupliers), avec la station Porte de Montempoivre (à 3 voies et 2 quais, dont un central) et ses tunnels de part et d'autre de la station.

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Au dessus de cette dernière l'on trouve le boulvard Soult avec quelques immeubles parisiens, le garage de la Porte Montempoivre et l'atelier de Montempoivre assurant la maintenance des trains de la ligne 15 du métro.

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Rappelons que la véritable ligne 15 est en cours de réalisation dans le cadre du réseau de transports en commun Grand Paris Express.

20/04/2020

Notre quartier au temps des usines (3)

parisDe la fin du 18e siècle jusqu'aux années 1950-60, la ville de Paris a vécu un important développement industrielEn 1900, on comptait à Paris, des centaines d'ateliers et usines employant quelques 900 000 ouvriers dont beaucoup habitaient dans le voisinage.

Ces sites industriels étaient majoritairement implantés dans les faubourgs de la capitale. Tel était le cas de l'éntreprise Edouard Robert dont le siège se trouvait au 48-50 boulevard de Reuilly (place Félix Eboué).

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Les plus avertis de nos lecteurs ont deviné que nous allions évoquer aujourd'hui les biberons inventés et fabriqués par Edouard Robert.

parisÉdouard Robert, un entrepreneur dijonnais est l'inventeur du biberon eponyme :  à la fin des années 1860, il crée un modèle avec un long tuyau baptisé « biberon robert à soupape », il sera affiché à l'exposition universelle à Paris, en 1873. Édouard Robert recevra une médaille d'honneur. La forme de la limande va perdurer pendant près d'un siècle.

Lire sur le site Une histoire du Biberon cette page qui concerne l'épopée de la maison Robert.

La fabrique des biberons Robert ne se trouvait pas rue Edouard Robert, mais au 48-50 boulevard de Reuilly comme le précise cette facture sur laquelle on distingue le pavillon récemment disparu du paysage de la place Félix Eboué.

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Cliquez pour agrandir l'image

Le succès sera de courte durée car, dans les années 1890, le biberon à soupape est de plus en plus décrié, notamment par l'Académie de médecine car difficilement nettoyable et par conséquent véritable nid à microbes. En 1910, il est prohibé et interdit à la vente. L'usine de Paris ferme ses portes en 1915.

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08:12 Publié dans Vie du quartier | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris

17/04/2020

L'étonnante avenue de Corbera

Une avenue est une grande voie urbaine ou une plus petite plantée d’arbres.

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Crédit photo : Le Renard parisien

Voilà la première raison pour laquelle l'avenue de Corbera suscite l'étonnement. Comment cette artère large de 15 mètres, mais très courte (102 mètres) et dépourvue d'arbres d'alignement a-t-elle pu obtenir le titre d'avenue ?

Ouverte en 1931 sous le nom d'un propriétaire, le baron de Corbera, cette avenue provient d'un passage ouvert en 1853 et appelé Guillaumot, puis Guillaumot Lainet.

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Le passage Guillaumot Lainet (Source Gallica)

L'avenue de Corbera étonne également par son bâti. Des deux cotés on peut voir un ensemble de logements de rapport réalisé entre 1923 et 1928 par le même architecte Edouard Lambla de Sarria (1881-1972) pour le compte d’un investisseur privé. Edouard Lambla de Sarria est notamment connu pour avoir réalisé en 1929 l'Institut d'Etudes Hispanique (rue Gay Lussac)

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À gauche, le côté impair de l'avenue
à droite l'angle du côté pair avec la rue de Charenton

08:07 Publié dans Vie du quartier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris

16/04/2020

Circul'Livre a seize ans

parisDimanche sera le troisième du mois de mars, mais la pandémie de coronavirus qui sévit interdit bien évidemment la tenue du rendez-vous mensuel Circul'Livre au métro Michel Bizot. Circul'Livre qui a ce mois-ci seize ans !

En 2004 le conseil de quartier Bel-Air Sud qui cherchait un moyen pour avoir un contact régulier avec les habitants du quartier, eut l'idée de le créer par le biais des livres. Le livre est avant tout un véhicules de culture, mais partagé entre ses lecteurs, il devient un vecteur de lien social.

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Des rendez-vous mensuels similaires à ceux organisés place Sans-Nom et au métro Michel Bizot ont rapidement été créés dans d'autres quartiers parisiens et dans quelques villes de France :

  • en 2005, Cours de Vincennes (20e)
  • en 2006, au métro Louis Blanc (10e) et à la Porte des Lilas (19e)
  • en 2007, dans le marché Saint-Quentin (10e), rue des Martyrs (9e) et au kiosque Courteline (12e)
  • en 2008, place de l'Abbé Hénocque (13e), à la résirence 107 rue de Reuilly et place Brancusi (14e)
  • en 2009, place des Fêtes (19e)
  • en 2010, au kiosque Blanqui (13e) et place de Rungis (13e)
  • en 2011, en 5 lieux du 15e arrondissement
  • en 2012, place Michel Audiard (14e)
  • en 2013, à la pointe Saint-Eustache (1er), rue Madame (6e) et sur le marché Brune (14e)
  • en 2014, avenue d'Ivry (13e)
  • en 2015, rue l'Olive (18e)
  • en 2016, place Mac Orlan (18e)
  • en 2017, place de la Contrescarpe (5e)
  • en 2018, au kiosque Jean Moulin (14e)
  • en 2019, avenue Courteline (12e)

Quelques rendez-vous ont du être arrêtés parfois faute de bénévoles, mais le plus souvent pour des raisons liées au lieu de stockage du matériel et des livres. On pense notamment à ceux de la rue Montorgueil (2e) et de l'esplanade Roger Linet (11e).

Une réussite, penseront ceux qui lisent ces lignes. Assurément, mais imaginez ce qu'elle serait si au delà des encouragements verbaux, les organisateurs bénévoles avaient bénéficié d'une aide municipale, concernant notamment la logistique et la communication.