02/12/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (13)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
Treizième coup d'oeil :
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Ce triptyque titré Les Bienheureuses carmélites de Compiègne est une oeuvre d'Argant de Merrefel que l'on peut contempler dans l'église de l'Immaculée Conception (34 rue du Rendez-Vous).
Les seize carmélites de Compiègne, inculpées pour «fanatisme» dans une parodie de justice à Paris lors de la Grande Terreur, ont été guillotinées le 17 juillet 1794. Leurs corps reposent dans les fosses communes du cimetière de Picpus, non loin de l'église.
Construite en 1875, l’église de style néo-roman, est due à l’architecte Delebarre de Bay ; le porche est surmonté par un « Couronnement de la Vierge ». Une statue de Notre-Dame de Lourdes domine le chœur orné par deux grandes toiles marouflées dédiées l’une à la promesse de la Rédemption et l’autre à la proclamation de l’Immaculée Conception.
Vous retrouverez l'ensemble des oeuvres présentes dans l'église de l'Immaculée Conception sur cette page du site Patrimoine-histoire
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25/11/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (12)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
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Vous pouvez voir ces deux éléphants dans la Grande Pagode du bois de Vincennes.
Vestige de l'exposition coloniale de 1931, la Pagode du bois de Vincennes (voir sur Wikipedia) inscrite aux Monuments historiques depuis 1975, est aujourd'hui le siège de l’Institut international bouddhique.
Dans cette enceinte de 8 000 m² située aux abords du lac Daumesnil se trouvent deux bâtiments à l’architecture remarquable conçus par Louis-Hippolyte Boileau.
Pavillons du Togo (à gauche) et du Cameroun (à dr) en 1931
Le plus imposant, l’ancien pavillon du Cameroun, a été restauré dès 1977 et transformé en pagode pour l’exercice du culte.
Les deux éléphants se cachent là (Cliquez pour agrandir)
La Pagode du bois de Vincennes ne se visite habituellement pas, mais ouvre ses portes au public à l’occasion de grands évènements telles que la Fête du bouddhisme (en mai), le Festival du Tibet (en septembre) ou certaines cérémonies tout au long de l'année.
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18/11/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (11)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
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Cette vue représente l'escalier intérieur de la colonne de Juillet.
Depuis 180 ans, la colonne de Juillet trône au milieu de la place de la Bastille sans que l'on puisse y accéder. Depuis l'achèvement des travaux de voirie qui ont permis sa restructuration, il est possible d'en approcher la base, mais toujours pas de la visiter.
Selon les informations du Centre des monuments nationaux, il sera bientôt possible (d'ici la fin de l'année dit-on) de visiter les parties basses de la colonne. Entièrement rénovées, elles vont en effet bientôt être rouvertes au public, dans le cadre de visites-conférences pour des groupes de 19 personnes. L’occasion de découvrir la galerie circulaire, ses vitraux et mosaïques, ainsi bien sûr que la mystérieuse crypte. En raison de son étroitesse, il ne sera en revanche pas possible d’emprunter l’escalier métallique permettant d’accéder au sommet de la colonne.
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04/11/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (10)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
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Ce bison, vous l'avez peut-être reconnu, est l'emblème de la société Derichebourg Environnement. Vous pouvez le voir derrière la porte d'entrée du siège de l'entreprise la société pour son siège social au 119 avenue du Général Michel Bizot.
Derichebourg Environnement est la branche du groupe Derichebourg ayant pour activité le recyclage et la valorisation des biens en fin de vie, la gestion des déchets industriels et ménagers, la propreté urbaine…
Ce bison et l'oeuvre du sculpteur Lorrain Jean No qui nous fait partager dans cette video sa passion pour la scuplture au service de la protection de l’environnement.
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28/10/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (9)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
Neuvième coup d'oeil :
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Ce centaure se trouve dans le Musée des Arts Forains où il a été pgotographié. Il a été réalisé par le britannique Charles John Spooner qui transformait en centaure les hommes politiques impliqués dans les affaires étrangères de l'Angleterre.
Le Musée des Arts forains abrite une collection créée il y a trente ans par Jean-Paul Favand, à l'origine acteur et antiquaire. Ce musée, installé depuis 1996 aux pavillons de Bercy, présente la seule exposition d’éléments forains privée ouverte au public en France.
La collection permanente du musée est répartie sur trois salles d’une superficie totale de 5000 m², ayant pour thème, respectivement : le Salon vénitien, le Théâtre du Merveilleux, le Musée des Arts Forains. Elle comprend : 14 manèges et autres attractions foraines, 16 boutiques foraines et attractions restaurées, 18 ensembles d'œuvres historiques ...
Tout au long de l’année, le musée se visite uniquement sur réservation.
Musée des Arts Forains Pavillons de Bercy
53 avenue des terroirs de France - Paris 12e
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21/10/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (8)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
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Huitième coup d'oeil :
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Cette statue en plâtre doré représente Saint-Eloi. Elle a été réalisée par Jean Puiforcat (1897-1945) pour l'Exposition internationale de 1937 et se trouve évidemment dans l'église l'église Saint-Eloi située place Maurice de Fontenay.
Construite à partir de 1965 et consacrée en 1968, l'église Saint-Eloi a été conçue par l'architecte Marc Leboucher en charge de la rénovation de l'îlot.
L'autel surélevé par cinq marches et est d'une grande sobriété comme l'ensemble du mobilier liturgique. Dans le chœur, quatre peintures du Père Kim En joong et une simple table aux piètements d'acier faisant office d'autel.
Plus d'informations sur le site Patrimoine-Histoire. L'église Saint Eloi fait en effet partie du patrimoine classé des églises de Paris des années 1960-1970.
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14/10/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (7)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
Septième coup d'oeil :
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Cette photo a été prise à la Cinémathèque française, dans la cabine de projection de film 70 mm de la salle Henri Langlois durant une projection du film Voyage au centre de la terre (Henry Levin / Etats-Unis / 1959 / 132 min / 35mm / VF).
Association loi 1901, la Cinémathèque française a été créée en 1936 par Henri Langlois, Georges Franju, Jean Mitry et Paul Auguste Harlé. Elle a pour but de collecter des films anciens, quels que soient leur origine et leur format, de les sauvegarder et de les montrer au public, afin de contribuer au développement de la culture cinématographique ; elle recueille également des objets et des documents ayant trait à l’histoire du cinéma.
La Cinémathèque est largement connue du grand public pour sa programmation, ses expositions, son musée. On connait beaucoup moins sa bibliothèque, sa videothèque, et moins encore ses actions de connservation du patrimoine cinématographique ainsi que les moyens financiers et techniques qu'elle y consacre.
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07/10/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (6)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
Sixième coup d'oeil :
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Cette fresque orne un mur du Salon des Outremers de la Mairie du 12e. Le salon des Outremers est l'antichambre de la salle des Fêtes ou se tient entre autres le conseil d'arrondissement.
En 1935, surfant sur l'effet "Expo coloniale" de 1931 la mairie fit aménager un extraordinaire "salon colonial" selon la terminologie de l'époque.
Les murs ont reçu pour cela un ensemble de peintures provenant de l’Exposition coloniale et qui avaient été réalisées par deux peintres peu connus, Louis Jean Beaupuy (1896-1974) et René Durieux (1898-1952). Les toiles ont du être remaniées afin d’être adaptées à la disposition architecturale de la pièce.
Cliquez pour agrandir - Plus de photos ici sur Paris-Bise-Art
Le cycle déroule un panorama coloré de l’empire colonial français de l'époque. L’Asie (l’Indochine), l’Afrique (le Congo, l’Algérie, le Maroc et Madagascar), l’Océanie (Tahiti) et les Antilles (la Martinique) s’y côtoient dans une même vision rêvée empreinte de sérénité.
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30/09/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (5)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
Cinquième coup d'oeil :
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Cette photo a été prise dans la Maison de la RATP et plus précisément dans la rue intérieure qui relie le 189 rue de Bercy et le 52 quai de la Rapée.
Réalisé par Pierre Sirvin et Michel Guerrier, ce bâtiment, est depuis 1995 le siège de la RATP qui y regroupe sa direction générale, les équipes de direction des trois réseaux et la plus grande partie des départements tertiaires de l'entreprise. La rue intérieure marque la volonté affichée par la RATP d'affirmer sa place dans la ville. C'est certes un lieu de passage mais également un lieu de pauses, de rencontres, de spectacles et d’événements. La RATP y a installé des bus anciens qui ont marqué son histoire.
C'est également par cette rue que l'on accède à l'Espace du Centenaire, un espace de conférences inauguré en 2000 à l'occasion du centenaire du métro parisien
Cette bouche de métro ne vous conduira pas bien loin puisqu'elle ne ne dessert aucune ligne et n'a qu'un rôle ornemental et symbolique. Elle se trouve en effet 189 rue de Bercy au pied de l'immeuble du siège de la RATP.
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23/09/2020
L'Oeil du quartier pousse les portes (4)
L'Oeil du quartier n'a certes pas épuisé les ressources de l'espace public. Parfois cependant, il pousse la porte de lieux accessibles et y fait des découvertes.
Dans cette série, nous vous invitons à identifier les lieux du 12e dans lesquels peuvent se contempler ces curiosités, voire ces merveilles.
Quatrième coup d'oeil :
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Cette fresque orne le coeur de la chapelle de la Fondation Eugène Napoléon. Elle a été réalisée en 1856 par Joseph-Félix Barrias en hommage à l'Impératrice Eugénie qui créa la Fondation Eugène Napoléon à la naissance du prince impérial.
Sur la fresque l'impératrice est représentée agenouillée tendant aux jeunes filles pauvres, sous le regard bienveillant de la Sainte Vierge, son collier de diamants.
Construite avec la somme offerte par la ville de Paris en 1853 pour fêter le mariage impérial, somme remplaçant une parure de diamants d'une grande valeur qu'Eugénie refusa, la Fondation Eugène Napoléon est au départ une oeuvre pieuse destinée à l'éducation des jeunes filles pauvres. C'est à l'architecte Hittorff que le chantier est alors confié. Il donna aux bâtiments la forme de la parure : grand jardin, façades et toitures, ateliers, mur et grille de clôture, salon de l'impératrice et chapelle.
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