29/07/2008
L'oeil sur les rues du quartier (5)
Cette nouvelle rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédentes à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous vous soumettons cette fois des plaques de rues dont seules les informations signalétiques sont lisibles. A vous de trouver à qui elles se rapportent ?
Cinquième coup d'oeil :
De qui s'agit-il ?
Notre précédent coup d'oeil :
Il s'agissait du Général Louis Archinard général français, né au Havre (1850-1932).
Protestant, polytechnicien grâce à la «méritocratie» et républicain, il appartient à cette catégorie d’officiers patriotes qui ont activement participé à la politique coloniale de la Troisième République.La rue du Général Archinard, précédemment rue du cimetière située autrefois sur le territoire de Saint-Mandé a été annexée à Paris par décret du 18 avril 1929. Elle porte le nom du Général Archinard depuis 1946.
08:23 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Paris
23/07/2008
L'oeil sur les rues du quartier (4)
Cette nouvelle rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédentes à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous vous soumettons cette fois des plaques de rues dont seules les informations signalétiques sont lisibles. A vous de trouver à qui elles se rapportent ?
Quatrième coup d'oeil :
De qui s'agit-il ?
Notre précédent coup d'oeil :
Il s'agissait bien de Marie Laurencin peintre et graveuse française.
La rue Marie Laurencin relie la rue du sahel au jardin Charles Péguy. Elle a été créée en 1987 lors de la réalisation de l'ensemble Sahel-Montempoivre.
Marie Laurencin est née à Paris en 1883. Elle fréquente (1903-1904) l’Académie Humbert et y rencontre Georges Braque qui l’introduit auprès des artistes du Bateau-Lavoir. Marie Laurencin vit dans l'ambiance du milieu cubiste. Elle expose au Salon des Indépendants à partir de 1907. Elle peint alors des portraits, des autoportraits et des groupes de personnages. Marie Laurencin devient la compagne et la muse du poète Guillaume Apollinaire (1907-1914). En 1912, elle participe au Salon de la Section d’or et expose un ensemble de portraits dans la « Maison cubiste » d’André Mare.
En 1914, elle épouse le peintre Otto von Watgen ; le couple dès la déclaration de guerre s’exile en Espagne (1914 à 1920), d'abord à Madrid, puis à Barcelone. Elle divorce de son mari et revient à Paris en 1921.
Marie Laurencin est morte à Paris en 1956. Elle repose au cimetière du Père Lachaise ; selon ses dernières volontés, elle repose dans une robe blanche tenant dans une main une lettre d'amour de Guillaume Apollinaire.Cette célèbre peinture de Marie Laurencin, représente Guillaume Apollinaire, Pablo Picasso, Fernande Olivier, Marie Laurencin et Fricka, le chien de Picasso.
09:00 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Paris
15/07/2008
L'oeil sur les rues du quartier (3)
Cette nouvelle rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédentes à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous vous soumettons cette fois des plaques de rues dont seules les informations signalétiques sont lisibles. A vous de trouver à qui elles se rapportent ?
Troisième coup d'oeil :<
De qui s'agit-il ?
Notre précédent coup d'oeil :
Il s'agissait du Docteur Etienne Goujon (1840-1907) qui fût sénateur de l'Ain et Maire du 12e arrondissement de Paris entre 1879 et 1900.
Nous n'avons pas pu trouver si Philippe Goujon, Maire du 15e est l'un de ses descendants.
En 1866, Etienne Goujon soutient en 1866 sa thèse de doctorat à la faculté de médecine de Paris (Etude sur quelques points de physiologie et d'anatomie pathologique).
Après avoir effectué une mission dans la Nièvre où sévit une épidémie de choléra, il reprend la maison de santé pour aliénés de la rue de Picpus.
La rue qui porte son nom a été percée en 1926 sur l'emplacement du parc de sa maison de santé.
08:46 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Paris
09/07/2008
L'oeil sur les rues du quartier (2)
Cette nouvelle rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédentes à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous vous soumettons cette fois des plaques de rues dont seules les informations signalétiques sont lisibles. A vous de trouver à qui elles se rapportent ?
Deuxième coup d'oeil :
De qui s'agit-il ?
Notre précédent coup d'oeil :
Il s'agissait bien du Général Michel Bizot dont l'avenue, ouverte en 1862, traverse notre quartier après avoir traversé celui de la Vallée de Fécamp.
La station de métro qui porte son nom a été ouverte en 1931.
Petite précision pour Aude, Georges et quelques autres : si vous cherchez des mots fléchés, voyez plutôt là.
08:14 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Paris
02/07/2008
L'oeil sur les rues du quartier (1)
Cette nouvelle rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédentes à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous vous soumettons cette fois des plaques de rues dont seules les informations signalétiques sont lisibles. A vous de trouver à qui elles se rapportent ?
Premier coup d'oeil :
07:54 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Paris
25/06/2008
L'oeil sur les statues du quartier (fin)
Cela devait finir par arriver : cette rubrique prend fin, mais dès la semaine prochaine une autre viendra prendre sa place.
Retour sur nos coups d'oeil :
Retrouvez les 25 épisodes de L'oeil sur les statues du quartier en cliquant sur l'image ci-dessous, et n'hésitez-pas à déposer des commentaires pour nous faire part de vos préférences et les partager avec les autres lecteurs.
Notre précédent coup d'oeil :
Il n'y a pas grand chose à ajouter à la réponse de Sylvain qui clôt avec brio notre jeu.
Cet ange est en effet celui porté par Athena sur la place Edouard Renard (porte Dorée).
Cette statue de bronze doré qui est l'un des emblèmes de notre arrondissement est due à Léon-Ernest Drivier (1878-1951) à qui l'on doit également Les Muses et La joie de vivre au Trocadéro, ainsi que le monument aux morts de Strasbourg.
A l'époque de l'exposition coloniale (1931), cette statue dont le titre est La france apportant la paix et la prospérité aux colonies [NDLR : il fallait oser !] se trouvait au pied de l'escalier d'honneur du Palais de la Porte Dorée.
Rectificatif : Nous avons attribué par erreur à Naoum Aronson le nu féminin objet de notre coup d'oeil numéro 4. Il est en réalité l'oeuvre de Georges Chauvel. Nous avons rectifié l'article.
08:05 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
18/06/2008
L'oeil sur les statues du quartier (25)
Cette rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédents "coups d'oeil" à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous observerons cette fois les statues situées sur l'espace public du 12e arrondissement. Où se trouvent-elles, qui en est l'auteur ?
Vingt-cinquième coup d'oeil :
Notre précédent coup d'oeil :
Cette étrange machine se trouve effectivement sur la Promenade Plantée, au croisement de la rue du Sahel et de la rue Sibuet. Une plaque signalétique nous informe qu'elle a été créée par A Zuber.
Sa fonction ludique (elle pouvait être animée par les passants au moyen d'un tourniquet) a été inactivée il y a quelques années ; probablement en raison du bruit que cela occasionnait.
14:20 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Paris
11/06/2008
L'oeil sur les statues du quartier (24)
Cette rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédents "coups d'oeil" à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous observerons cette fois les statues situées sur l'espace public du 12e arrondissement. Où se trouvent-elles, qui en est l'auteur ?
Vingt-quatrième coup d'oeil :
Comme toujours, que vous connaissiez ou non la réponse, vous pouvez commenter.
Notre précédent coup d'oeil :
Ces lionnes de style Artdéco ornent le portail du Palais de la Porte Dorée. Elles ont été réalisées par Henri-Edouard Navarre (1885-1971) sculpteur et graveur qui, dans les années trente, a réalisé cette lampe en verre poli à l'effigie de BeethovenLe nom de Navarre figure également dans l’ombre des sculptures ornementales du théâtre du Trocadéro.
07:51 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Paris
04/06/2008
L'oeil sur les statues du quartier (23)
Cette rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédents "coups d'oeil" à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous observerons cette fois les statues situées sur l'espace public du 12e arrondissement. Où se trouvent-elles, qui en est l'auteur ?
Vingt-troisième coup d'oeil :
Notre précédent coup d'oeil :
Cette baleine se trouve dans le square Saint-Eloi (également connu sous le nom de Square de la Baleine).
Son auteur se nomme Michel LE CORRE, mais nous ne savons rien de lui ni du reste de son oeuvre. Merci aux lecteurs qui pourront enrichir cette information.
Une récente visite au square Saint-Eloi nous a permis de voir que cette Baleine mériterait de subir une sérieuse cure de jeunesse.
07:59 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Paris
28/05/2008
L'oeil sur les statues du quartier (22)
Cette rubrique hebdomadaire est destinée comme nos précédents "coups d'oeil" à vous faire partager notre intérêt pour le quartier dans lequel nous vivons.
Nous observerons cette fois les statues situées sur l'espace public du 12e arrondissement. Où se trouvent-elles, qui en est l'auteur ?
Vingt-deuxième coup d'oeil :
Notre précédent coup d'oeil :
Cette sculpture dénommée La Danse se trouve dans le jardin de Reuilly Elle a été réalisée en 1938 par Charles Alexandre Malfray (1887-1940).
Si internet foisonne de références à Charles Malfray, il est très difficile d'y trouver l'image de ses oeuvres. Nous vous avons déniché celle-ci : un bronze dénommé : Après le bainEn 1937, peu avant sa mort, une commande pour le Palais du Trocadéro vient ponctuer sa carrière, Le Printemps, paraît-il toujours présent dans le foyer.
08:13 Publié dans "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Paris