19/04/2022
Starchitectes ou pas, ils ont marqué le 12e (2)
Cette rubrique se propose de mettre en lumière les architectes dont les oeuvres marquent le 12e arrondissement. Architectes à l'origine de monuments classés, Starchitectes internationaux ou signatures largement reconnues, ils ont contribué à l'identité de nos quartiers.
Des exemples :
- Claude-Nicolas LEDOUX (1736-1806) un architecte historique à qui l'on doit :
- La barrière du Trône
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- La Saline royale d'Arc-et-Senans
- Christian de PORTZAMPARC (1944-) un Starchitecte à qui l'on doit :
- La Sorbonne Nouvelle
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- La Cité de la Musique (Paris 19e)
- Carlos OTT (1946-) un architecte largement reconnu à qui l'on doit :
- l'Opéra Bastille
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- La Celebra Offices Tower à Montevideo (Uruguay)
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08/04/2022
Éloge des rues sinueuses d'avant Haussmann
En fin connaisseur de notre quartier vous avez remarqué qu'on y trouve deux sortes de voies : les voies rectilignes comme la rue Louis Braille, la rue Lamblardie ou l'avenue du Général Michel Bizot et les voies sinueuses comme la rue de Toul, la rue Sibuet, la rue de la Voûte, la rue du Colonel Oudot, ou la rue de la Véga.
Rue de La Vega
Les voies rectilignes sont des percées haussmanniennes qui ont offert à Paris de belles perspectives et des alignements d'arbres (merci Alphand), mais sont la source principale des excès de vitesse et du bruit qui les accompagne.
Les voies sinueuses sont des voies souvent très antérieures aux travaux du Baron Haussmann, naturellement calmes et où il fait bon de se promener en étant relativement à l'écart du bruit et des dangers de la ville.
Le 12e arrondissement de Paris en 1868 (Cliquez pour agrandir)
Les quelques rues à la fois rectilignes et tranquilles sont celles qui n'offrent pas l'opportunité d'itinéraires malin aux véhicules en transit. Tel est le cas des rues de Santerre, Gossec et Sidi Brahim, bien différentes de la rue Victor Chevreul dans laquelle deux coussins berlinois ont du être posés ou de la rue de Lamblardie (deux ralentisseurs).
La rue de Charenton, l'une des rues anciennes et sinueuses du 12e arrondissement est une exception. Elle présente la particularité d'être longue, si longue (329 numéros) qu'elle traverse l'arrondissement de la place de la Bastille (ex porte Saint-Antoine) à la porte de Charenton. De ce fait, elle est sujette à une circulation de transit plus importante que les autres rues de même type.
La rue de Charenton ne nous était pas apparue comme soumise à un trafic intense et des véhicules y circulant à vitesse excessive. C'est pourtant autour d'elle que se sont concentrées les actions issues de l'opération "Embellir votre quartier" Jardin de Reuilly. L'objectif maintes fois répété est d'en faire une Vélorue.
Déjà durant la mandature 2002-2008, Bertrand Delanoë et Denis Baupin ont oeuvré pour apaiser l'espace public en dissuadant la circulation de transit dans certains quartiers résidentiels. Ils ont créé pour cela des Quartiers Verts dont la traversée par les non résidents était quasi impossible. Les axes haussmanniens quant à eux restent épargnés puisqu'ils sont par nature conçus pour assurer les nécessaires liaisons inter-quartiers.
Ces dernières années la capacité des grands axes a été fortement réduite par la part accordée aux circulations douces, pénalisant ainsi la circulation motorisée et les autobus.
On s'étonne de l'incroyable imbroglio de sens uniques que la mairie du 12e a déployé dans tout le quartier Jardin de Reuilly pour accroitre la sécurité des vélos qui empruntent son réseau routier.
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À l'image de ce qui était fait pour les Quartiers Verts, n'aurait-il pas suffi de dissuader la circulation de transit par la rue de Charenton en inversant le sens autorisé de la circulation automobile sur certains tronçons (par exemple en amont de la place du Colonel Bourgouin où quatre rues convergent) tout en en maintenant la continuité cyclable sur toute la longueur.
En résumé,
- nous souhaitons que soit préservé le caractère typiquement paisible des rues anciennes, souvent étroites et sinueuses. Pour cela, elles doivent être d'un accès dissuasif pour les non riverains et en particulier elles ne doivent jamais être à l'origine d'un itinéraire malin. Dans ces rues apaisées, les cyclistes peuvent partager la chaussée avec les voitures sans recourir à des pistes cyclables. On s'efforcera d'y limiter le stationnement en dehors des livraisons et de rendre agréable la déambulation piétonne.
- nous nous résignons à voir la circulation motorisée de transit emprunter sans entraves les grands axes haussmanniens. La création sur ces axes de pistes cyclables ne doit être envisagée que si les trottoirs répondent aux attentes des piétons (sinon, il faut en priorité les désencombrer ou les élargir).
Et n'oublions pas que la meilleure façon de réduire les nuisances de l'automobile reste l'investissement dans des transports en commun fiables et performants.
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07/04/2022
Le retour des terrasses de cafés
Chaque année, plus spécifiquement à partir de la date de passage à l'heure d'été, les cafés détenteurs de droits déploient largement leurs terrasses. La ville leur a accorde de tels droits moyennant le respect de la règlementation en vigueur et le paiement de taxes annuelles liées à la surface occupée sur l'espace public.
En juin 2020, après le premier confinement, afin de soutenir la profession, la ville a accordé aux cafés et restaurants le droit de créer ou d'étendre gratuitement leur terrasses sur l'espace public.
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Pour créer ces terrasses dites éphémères, il ne leur était demandé qu'une déclaration de principe et l'engagement sur une charte peu contraignante. On a vu ce qu'on a vu ! installations, horaires nuisances sonores ....
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Pour reprendre la maitrise de la situation, la ville a opéré une révision du Règlement des étalages et terrasses (RET) et l'a publié le 11 juin 2021.
Depuis le 1er avril 2022, les terrasses qui s'ajoutent aux terrasses classiques d'avant le Covid sont désormais qualifiées d'estivales. Elles doivent entre autres (voir document explicatif ci-contre) :
- avoir fait l'objet d'une demande d'autorisation validée par la ville
- n'être exploitées que du 1er avril au 31 octobre
- cesser d'être exploitées à 22 heures
- respecter le RET de juin 2021
Contrairement aux terrasses "éphémères", les terrasses "estivales" ne sont plus réservées aux débits de boissons, restaurants, glaciers et salons de thé. Les hôtels, les libraires, et les disquaires peuvent aussi en faire la demande.
La Mairie du 12e a annoncé avoir pris des dispositions particulières concernant le quartier d'Aligre. Ces dispositions ne sont pas publiées, mais on se demande pourquoi elles devraient être différentes de celles applicables à Montmartre, la Butte aux Cailles ou Saint-Germain-des-Prés.
Leur contrôle est effectué par les agents assermentés de la ville de Paris et de la Préfecture de Police. Le non-respect du règlement peut être sanctionné par des peines d’amendes et le retrait des autorisations.
Cette page de Paris.fr mentionne les engagements pris par la ville pour assurer aux parisiens que le nouveau règlement sera respecté. Néanmoins il y est rappelé que l’application DansMaRue permet désormais le signalement des nuisances liées aux terrasses.
08:12 Publié dans Commerces, Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
29/03/2022
Bientôt de nouveaux Grands Voisins à Bercy
On se souvient qu'à la prise de fonction du nouvel exécutif du 12e, une remise à plat totale du projet Bercy-Charenton a été décidée, avec l'objectif d'établir une nouvelle méthode de concertation avec les habitants.
L'appel à projet Reconquête urbaine du site de Bercy-Charenton, lancé en février 2021, a retenu celui porté par Yes we camp, Plateau Urbain, l'association Coup de pousses et Ancoats pour l'occupation temporaire du site correspondant au secteur Bercy Charenton sur une surface de 1 hectare et pour une période d'au moins 2 ans.
Ce choix a immédiatement été considéré comme très prometteur en référence aux Grands Voisins, l'opération comparable menée entre 2015 et 2020 sur le site de L'hôpital Saint-Vincent-de-Paul (14e) par la même équipe.
L'ouverture à tous d'un lieu culturel, festif et solidaire était initialement annoncée pour juillet 2021 avec un jardin potager hors-sol, des espaces de biodiversité à protéger, ainsi qu'un bar, des barbecues en accès libre et une scène. Était également annoncée une programmation culturelle en lien avec la Ville. La pandémie a évidemment rendu ce calendrier intenable.
Le 2 octobre dernier, dans le cadre de la Nuit Blanche l'association Yes we camp, a toutefois exceptionnellement ouvert au public 3 000m² de terrain en friche sur d’anciennes emprises ferroviaires avec au programme, des installations artistiques et lumineuses, des dj sets, une buvette festive.
Les dernières informations qui nous sont parvenues (Source TimeOut du 05/01/2022) indiquent une ouverture au printemps 2022 au 22 boulevard Poniatowski. Le printemps, nous y sommes depuis une semaine.
On demeure curieux de découvrir comment ce dispositif d'urbanisme transitoire pourra faire éclore un nouveau projet pour Bercy-Charenton dont, sous le nom de Bercy-Poniatowski, les prémices remontent à 2008.
08:07 Publié dans Animation-Culture, Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
28/03/2022
Curiosité chronologique à la Mairie du 12e
On se souvient que l'actuelle mairie du 12e conçue par l'architecte Antoine-Julien Hénard a été achevée en 1876. Depuis 1860, année de l'extension de Paris et de la création du 12e, c'est l'ancienne Mairie de la commune de Bercy (située approximativement sur l’emplacement actuel de la Caserne de pompiers de la place Lachambaudie) qui servait de Mairie d'arrondissement.
La plus ancienne photo connue de la Mairie actuelle du 12e est attribuée à Charles Marville (1813-1879) et a été prise vers 1877 (Source).
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On observe que le bâtiment et ses abords semblent terminés et que le square Eugène Thomas accueille des promeneurs. Un détail surprend néanmoins : les niches qui abritent aujourd'hui des sculptures sont vides. Les statues que nous connaissons n'auraient-elles pas été livrées à temps ?
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Ces deux sculptures évoquant l'activité économique de l'arrondissement sont : à gauche, l'Ébéniste d'Henri Honoré Plé (1853-1922) et à droite le Vigneron d'Alexandre-Victor Lequien (1822-1905). Elles ont été installées en 1879.
En vignette de cet article : la tête de femme qui orne la clef-de-voûte sculptée par Eugène-André Oudiné,était bien présente sur la photo de Charles Marville.
08:06 Publié dans Citoyenneté, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
21/03/2022
Tativille, un quartier d'affaires en bordure du 12e
À vrai dire, on ne sait pas trop si cet article doit être classé dans la catégorie Aux frontières du 12e ou dans Édifices disparus. Comme vous allez le voir, le sujet concerne un peu les deux.
En 1964, le cinéaste Jacques Tati (1907-1982) était à la recherche d'un lieu parisien ayant la modernité adaptée au tournage de son quatrième film : PlayTime.
À l’automne 1964, à défaut de le trouver, il a fait reconstituer par une centaine d'ouvriers en bâtiment une ville moderne entière : Tativille-sur-Marne. Située sur un terrain vague de quelque 15 000 m2 à l'emplacement de l'ancien « Camp des Canadiens » (entre la Redoute de Gravelle et l'École Du Breuil), cette ville a nécessité pour sa construction 1 200 m2 de vitres, 3 500 m2 de revêtements plastiques, 3 000 m3 de bois et 45 000 m3 de béton. Le chantier de Tativille n’est terminé qu’au printemps 1965.
Chaque immeuble, dont certains hauts de quatre étages, dispose du chauffage central au mazout et il y a deux centrales électriques assez puissantes pour alimenter une ville de 15'000 habitants. On peut y entretenir, grâce aux éclairages disposés un peu partout, un soleil permanent.
Ce décor démesuré auquel s'ajoute un tournage long et compliqué suivi d'un échec commercial est à l'origine de la ruine financière de Jacques Tati alors que de nombreux cinéphiles qualifient PlayTime de chef-d'oeuvre.
Le site des anciens décors de Playtime a finalement définitivement disparu en 1975 lors de la construction de l'autoroute A4. Il se situerait actuellement au niveau de la chaussée de l'autoroute A4 entre la Redoute de Gravelle (école de police) et le Stade Municipal Jean Pierre Garchery de Joinville-le-Pont.
08:05 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
04/03/2022
Pourquoi le 4 place Félix Eboué et pas son voisin ?
Depuis sa présentation en décembre 2016 (voir ici) et l'annonce de sa construction, l'ensemble immobilier du 4 place Félix Eboué est l'objet d'avis généralement négatifs de la part des habitants du quartier.
Il est vrai que sa construction a entrainé la démolition de l'ancien pavillon de direction de l'usine des biberons Robert (48-50 bd de Reuilly) auquel les habitant étaient attachés et qui portait en lui le souvenir du passé industriel du quartier.
La hauteur et la volumétrie de cette construction contribuent évidemment au mécontentement de tous ceux qui comme nous déplorent de voir notre quartier accroitre encore sa densité et sa minéralité.
Il faut dire que l'architecture conçue par le cabinet Baumschlager Eberle est loin de ce qu'on espérait et qu'aurait mérité cette place emblématique du 12e.
Il y a cinq ans, nous assumons avoir approuvé (voir ici) la décision d'achever la continuité des façades de la place tout comme le choix retenu par rapport au projet de l'agence ecdm qui avait certes une architecture séduisante, mais privait les habitants de soleil et les exposait aux nuisances de la circulation.
Il y a pourtant quelque chose que nous ne parvenons pas à comprendre : pourquoi tant de haine envers le 4 place Félix Eboué alors que son voisin immédiat (l'immeuble d'Auchan au 46 bd de Reuilly) qui est largement aussi médiocre n'a jamais été montré du doigt ?
Nous n'avons pas trouvé de photographies du bâtiment qui précédait l'immeuble du 46 bd de Reuilly, mais il avait lui aussi été construit sur le terrain des anciennes usines des Biberons Robert. Sa construction achevée en 1972 avait déjà largement contribué à enlaidir la place Félix Eboué.
Place Félix Eboué en 2014
Faut-il croire qu'en 1972, nos concitoyens toléraient davantage la bétonnisation de leur quartier que ceux d'aujourd'hui ?
08:06 Publié dans Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : paris
28/02/2022
Starchitectes ou pas, ils ont marqué le 12e (1)
Cette rubrique se propose de mettre en lumière les architectes dont les oeuvres marquent le 12e arrondissement. Architectes à l'origine de monuments classés, Starchitectes internationaux ou signatures largement reconnues, ils ont contribué à l'identité de nos quartiers.
Premiers exemples :
- Gabriel DAVIOUD (1824-1881) un architecte historique à qui l'on doit :
- La fontaine Daumesnil
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- L'ancien palais du Trocadéro et le banc public parisien type
- Frank GEHRY (1929-) un Starchitecte à qui l'on doit :
- La Cinémathèque française
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- La Fondation LVMH et le musée Guggenheim de Bilbao
- Paul CHEMETOV (1928-) un architecte largement reconnu à qui l'on doit
- le Ministère des Finances de Bercy
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- La place Carrée du Forum des Halles et les Tours-Maisons d'Ivry
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25/02/2022
Prolongement de la ligne 1 du métro : parfait à un point près.
La ligne numéro 1 du métro qui, comme son nom le rappelle fût la première, a été inaugurée le 19 juillet 1900 entre Porte Maillot et Porte de Vincennes. Elle borde le nord de notre arrondissement entre la place de la Nation et la porte de Vincennes.
Elle a subi plusieurs extensions à l'ouest dont la dernière le 1er avril 1992 lui permet d'atteindre La Défense. À l'est, la ligne n'avait pas subi de prolongements depuis le 24 mars 1934 qui lui avait permis d'atteindre le Château de Vincennes.
Le prolongement de la ligne 1 est inscrit au Schéma Directeur de la Région Île-de-France (SDRIF). La Région Île-de-France et l’État devraient financer le projet à hauteur de 70 % et de 30 %. Le schéma de principe du prolongement a été remis par la RATP à Île-de-France Mobilités en juillet 2018
Le projet prévoit de prolonger la ligne de l’actuel terminus Château de Vincennes jusqu’à la station Val de Fontenay, où s’interconnectent déjà les lignes des RER A et RER E, et bientôt la ligne 15 Est du Grand Paris Express en desservant trois nouvelles stations :
La mise en service est projetée à l’horizon 2035.
Après un temps d’incertitudes quant à sa tenue, l’enquête publique a débuté le 31 janvier et se terminera le 2 mars prochain. Les habitants et les élus des zones desservies sont généralement favorables au projet. Un point concernant le 12e arrondissement de Paris et encore davantage les Fontenaysiens riverains du bois de Vincennes, focalise les opposants : le tracé de cette extension prévoit de passer par le bois de Vincennes, entrainant des abattages d'arbres. Ils ont lancé la pétition Touche pas à mon Bois qui plaide pour un tracé alternatif.
Vous pouvez également, pour encore quelques jours participer à cette enquête publique.
08:10 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
22/02/2022
Rusticages au bois de Vincennes
Si vous fréquentez des espaces verts créés ou magnifiés par Alplhand comme les Buttes Chaumont ou le bois de Vincennes, vous avez certainement remarqué ces balustrades ou édifices imitant le bois.
Comme nous, il y a encore peu de temps, vous ignorez peut-être que le travail artisanal qui conduit à ces réalisation se nomme le rusticage. Ce procédé très à la mode au 19e siècle consiste en un mélange de béton et de ciment, façonnés de sorte à imiter des rondins de bois (*).
Nous avons arpenté le bois de Vincennes à la recherche des témoins de cette technique que le principe de construction rend très vulnérable aux variations climatiques. Les pièces que l'on peut y voir sont des restaurations récentes en très bon état mais souvent moins fines que les créations originales (photos prises le 9 février 2022).
Cet abri se trouve ici près de la Grande Pagode
Le kiosque du lac de Gravelle (Ici)
Un petit pont près du carrefour de la Conservation (Ici)
Le kiosque du lac de Saint-Mandé (Ici)
Le kiosque d'origine au début du 20e siècle
(*) De même le procédé de rocaillage consiste à imiter la pierre des rochers.
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