25/10/2016
Bercy Charenton vu de Charenton
Alors que tout laisse penser que le projet Bercy-Charenton est en sommeil (*), penchons-nous sur ce qui se passe de l'autre côté de l'échangeur de la porte de Bercy.
Le 13 juin 2016, Hervé Gicquel, Maire de Charenton-le-Pont a consacré une rencontre de quartier au projet de Contrat d’Intérêt National (CIN) de Bercy Charenton, qui doit poser les jalons du devenir de ce quartier de Charenton.
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Le site de la Mairie de Charenton étant muet sur le sujet depuis 2009, c'est du site 94.Citoyens que nous tenons ces informations (voir ici) :
Charenton-le-Pont prévoit sur une dizaine d’hectares un projet urbain, mixte comme il se doit. Moins avancé que celui de Paris, il devrait inclure du logement, des équipements, des bureaux, de l’aménagement paysager et des transports.
Les projets de Paris et de Charenton-le-Pont sont amenés à se rejoindre grâce au prolongement de la rue Baron-Leroy.
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A Charenton, le périmètre du projet est compris entre Bercy 2 et l’avenue de la liberté d’un côté, et entre la voie ferrée et l’autoroute A4 de l’autre. Quatre parcelle sont concernées :
- le centre commercial Bercy 2 sur 19 500 m2, propriété de Tikehau depuis la fin 2015
- les terrains d’Archon group sur 44 000 m2 (parc Escoffier)
- les entrepôts de la Martiniquaise sur 9000 m2 (dans le prolongement du parc Escoffier)
- le site de l’AP-HP (service ambulances) sur 12 500 m2, dans le prolongement de la Martiniquaise.
Le Maire de Charenton a affirmé que, comme Charenton le fait depuis dix ans, une coopération avec Paris était bien sûr la clé de la réussite des deux projets ...
(*) Aucune information publique depuis l'approbation de la concertation par le Conseil de Paris le 29 juin 2015
08:04 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
29/08/2016
Du nouveau pour vos déplacements
Quelques brèves concernant des changements récemment intervenus dans le domaine des transports et qui peuvent affecter votre quotidien :
Côté métro :
Autant nous débarrasser sans tarder de ce rappel cruel : depuis le 1er Août, le forfait mensuel Navigo est passé de 70 à 73 euros
Côté deux-roues en libre service :
Durant la campagne pour les municipales de 2014, sous la pression de ses alliés Radicaux de Gauche, Anne Hidalgo promettait des Scootilb'. Après quelques tergiversations, la Mairie de Paris soutient le projet privé de scooters électriques en libre service Cityscoot.
A la suite de l'expérimentation de juin 2015 (voir ici), le service a commencé à être déployé cet été avec un objectif de 1000 scooters début 2017 et 3000 début 2020.
Côté train :
Si vous devez vous rendre à la gare de Paris Bercy, rappelez-vous qu'elle s'appelle désormais gare de Paris Bercy Bourgogne Pays d'Auvergne. On aurait pu faire plus simple en conservant un nom qui permettait de la localiser plutôt que d'indiquer les nombreuses destinations qu'elle dessert. Mais la SNCF a préféré céder à la pression des élus régionaux sans toutefois fâcher la Mairie de Paris.
Côté Taxis :
Enfin un coup de jeune dans cette profession prisonnière de dispositions d'un autre âge : après une première version qui s'est caractérisée par un flop, la ville de Paris en a mis en service une
nouvelle version de l'application Paris Taxi reposant sur la plateforme Le.Taxi, mise au point avec la Prefecture de Police et les professionnels.
Le client peut depuis son smartphone héler l'un des taxis géolocalisés et visibles dans son entourage
Il y a un bon espoir de voir un maximum de taxis rallier cette application qui devrait rapidement devenir incontournable et permettre aux 17 700 taxis parisiens de rivaliser avec les VTC.
07:52 Publié dans Citoyenneté, Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
04/07/2016
Rythme estival
Depuis le 1er janvier, nous avons publié 154 articles, soit une moyenne de 6 par semaine. Vous avez de votre côté posté 160 commentaires. Comme chaque année, en cette période estivale, nous allons réduire un peu le rythme de nos publications pour mieux rebondir à la rentrée.
Nous vous souhaitons des vacances aussi agréables et bénéfiques que possible. Mais pour être sûr de ne manquer aucune information relative au quartier, abonnez vous à notre compte Twitter @BelairSud et inscrivez-vous sans plus tarder à notre 'NewsLetter' (colonne de droite) qui durant cette période sera diffusée un vendredi sur deux.
08:28 Publié dans Animation-Culture, Citoyenneté, Commerces, Démocratie locale, Elections, Paris Métropole, Solidarité, Vie du quartier, Voirie Urbanisme, "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
15/03/2016
Changement annoncé à la Mairie de Charenton-le-Pont
Des sept communes qui jouxtent le 12e arrondissement, Charenton-le-Pont est l'une des deux les plus proches. Elle est irriguée par 2 stations de la ligne 8 du métro qui en possède 9 dans notre arrondissement. Elle devrait partager avec nous le projet Bercy-Charenton principalement destiné à rétablir la continuité urbaine d'un espace de 63 hectares meurtri par le faisceau ferroviaire, l'autoroute A4 et le boulevard périphérique.
À l'occasion des voeux adressés à sa population, le Maire Jean-Marie Brétillon (LR) ré-élu en 2014 avec 65 % des suffrages, a annoncé sa décision de rendre son mandat avant l'échéance de 2020.
L'annonce en a surpris certains, mais pas ceux qui avaient lu un article paru le 13 juin 2013 dans le Parisien dans lequel Jean-Marie Brétillon n'excluait pas de ne pas aller au bout du troisième mandat qu'il briguait : Tant que je me sens bien, je poursuis, je ne me fixe pas de calendrier. J'ai hâte de voir démarrer trois grands projets que j'ai lancés : la rénovation de Bercy, une opération d'urbanisme et de logements dans le quartier du Pont et le parking, l'école et la salle municipale sur l'ancien lycée Jean-Jaurès.
Dans l'éditorial du numéro de février du bulletin municipal, il ajoute : Déjà, lors des élections départementales de mars 2015, j’avais souhaité qu’Hervé Gicquel puisse me succéder pour siéger au sein de cette assemblée et vous l’avez brillamment élu. [...]
Hervé Gicquel est mon 1er adjoint depuis 15 ans, il a une solide expérience de la gestion municipale et la Ville est saine financièrement. Selon la formule, ce sera donc un changement dans la continuité qui sera effectif dans les prochains mois !
Si une telle transmission est parfaitement légale, nombre de charentonnais considèrent qu'après 15 ans d'exercice, il n'est pas très républicain de transmettre en cours de mandat, son pouvoir à un dauphin.
07:44 Publié dans Paris Métropole | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
18/02/2016
Le plan du 12e éclairé par son histoire
C'est une information déjà publiée sur ce site, mais que vous soyez nouveau dans l'arrondissement ou qu'elle vous ait échappé, il nous a paru utile de revenir sur des informations qui permettent un nouveau regard sur la typologie de nos quartiers.
De 1785 à 1859, Paris était délimité par le mur des Fermiers généraux érigé juste avant la Révolution non pas pour assurer la défense de la capitale mais pour forcer le paiement à la Ferme générale de l'octroi dû sur les marchandises y entrant. Paris était alors divisé en 12 arrondissements. Le VIIIe (en haut à gauche de la carte) occupait une partie du 12e actuel (contour rouge), et était bordé par les communes de Charonne, Saint-Mandé et de Bercy.
Comme on le voit sur le carte ci-dessus, le mur d'enceinte des Fermiers Généraux comportait dans cette partie 7 passages, appelés barrières munies de bâtiments (ou bureaux d'octroi), conçus par l'architecte Claude Nicolas Ledoux. Les images ci-dessous (cliquez pour les agrandir) proviennent de Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF.
De ces barrières, ne restent dans le 12e qu'une partie de la barrière Bercy (dont le pavillon du 139 rue de Bercy devenu l'entrée du ministère des finances) et la barrière de Vincennes terminée en 1843 sous Louis-Philippe par les colonnes du Trône magnifiquement restaurées en 2010.
Par décret impérial du 26 mai 1859 et la loi des 6 et 16 juin 1859 Paris est étendu jusqu’à l’enceinte de Thiers, avec effet le 1er janvier 1860.
En 1860, le nombre d’arrondissements parisiens passe de 12 à 20 par adjonction (total ou partiel) du territoire de communes voisines et démolition du mur des fermiers généraux qui les séparait de Paris.
Voila au moins une extension du domaine de la capitale et de sa découpe en arrondissements qui, si elle n'a laissé que peu de place au dialogue a été menée rapidement et n'a pas été remise en cause.
07:55 Publié dans Citoyenneté, Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
02/02/2016
Peu connues des parisiens : les Zones retranchées du bois de Vincennes
Depuis 1860, le Bois de Vincennes est la propriété de la ville de Paris.
En 1863, pour assurer le coûteux financement de l’aménagement du Bois en promenade publique, la ville a mis en adjudication une zone de 120 hectares répartis sur son pourtour, ce qui deviendra la Zone retranchée du bois de Vincennes.
Nouvelles dispositions du Bois de Vincennes, vers 1862
Fonds de la Société des Amis de Vincennes
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Aux anciennes portes du bois, absorbées par les tissus urbains, se substituent alors de simples carrefours. Assortie de prescriptions architecturales et urbaines, la partie retranchée donne naissance à des rives de qualité, à Vincennes, Charenton, Saint-Mandé, Fontenay-sous-Bois ou Nogent-sur-Marne.
Les acquéreurs des parcelles devaient respecter un rigoureux cahier des charges exigeant notamment un modèle de clôture uniforme, caractéristique encore visible aujourd’hui et partie intégrante du patrimoine.
Un nombre assez conséquent de propriétés, dont les bâtiments sont reconstruits ou d’origine, ont conservé la clôture conforme au cahier des charges du lotissement, assurant une homogénéité de l’alignement sur rues.
La ville de Paris conservait la propriété des avenues et des routes mais les lots demeuraient sur le territoire des communes concernées (le Bois était, depuis la Révolution, réparti sur le territoire des communes limitrophes : en 1929, il a été intégré au territoire parisien).
07:39 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
01/02/2016
La ville et la région soutiennent la voiture électrique
Si malgré leur opposition politique, il est un domaine où la ville de Paris et la région Île-de-France semblent converger, c'est bien celui de la promotion de la voiture électrique.
Inauguré en décembre 2011, Autolib' compte aujourd'hui près de 5000 bornes de charge et places de stationnement réparties sur 873 stations. 250 bornes sont dédiées à la recharge des véhicules particuliers. Il est de plus possible de recharger son véhicule sur une borne dédiée à Autolib' moyennant un tarif plus élevé. Toutes les informations sur le site d'Autolib'.
Il y a dans le 12e, 32 stations Autolib' dont trois "Espaces"
Au delà de l'emblématique Autolib', plusieurs mesures ont été mises adoptées par la ville de Paris suite à l'adoption du plan anti-pollution parisien :
aides à l'achat de véhicules utilitaires électriques ou GNV pour les professionnels et à l'installation de points de recharge dans les copropriétés ;
- stationnement sur voirie gratuit des véhicules électriques (limité à 2 heures pour les non-résidents et les professionnels) ;
- subvention de 6300 euros pour un véhicule électrique et de 4000 euros pour un hybride rechargeable offerte aux taxis ;
- nouveau service d'autopartage en boucle, SVP, proposé début 2016 avec une cinquantaine de véhicules électriques ou hybrides rechargeables ;
- subvention pouvant atteindre 400 euros accordée pour leurs acheteurs parisiens de 2-roues ou de vélos électriques.
Le 12 janvier, Pour compléter cette offre et favoriser le développement de la voiture électrique, la Ville de Paris lance Belib' : les 60 premières bornes de recharge Belib' comprenant 120 points de recharge accélérée et 60 points de recharge normale, déployées sur l'ensemble du territoire parisien.
La Région, qui participe au financement de ces 60 premières bornes Belib' à hauteur de 1,2 million d'euros, vise la création en 2020 d'un réseau de 16.000 bornes publiques de recharge.
Stéphane BEAUDET Vice-président de région en charge des transports affirmait récemment : « c’est la base d’un réseau qui ne s’arrêtera pas à Paris mais dépassera le périphérique, puisque la Région a créé le dispositif “Nouveaux véhicules urbains”, qui permet de participer au financement de 1.000 bornes de recharge par an ». « Bientôt, le réseau de bornes de recharge publiques s’étendra à toute l’Île-de-France, où 38% des déplacements se font encore en voiture, a-t-il précisé. Il est nécessaire que ce mode de déplacement devienne moins polluant grâce à l’électrique.».
Cinq bornes belib' sont annoncées dans le 12e d'ici le mois d'avril. D'autres devraient suivre, en particulier à Bel-Air Sud et à Vallée de Fécamp.
2 rue Abel, 20 rue Villiot, 40 bd de Reuilly
30 Cours de Vincennes, 4 rue Changarnier
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08:05 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
28/01/2016
Festivaliers en joie, riverains en colère
Les habitants de Vincennes, Fontenay-sous-Bois et Nogent-sur-Marne riverains du bois de Vincennes se souviennent encore du festival Marvellous Island qui avait fait trembler leurs maisons durant cinq jours en mai 2013.
On comprend leur émotion lorsqu'ils ont appris que le bois de Vincennes s'apprête une nouvelle fois à accueillir un festival de musique électro. Il s'agit en l'occurence du festival The Peacock Society qui prévoit de réunir (de samedi 30 janvier 20h00 à dimanche 31 7h00) 10 000 festivaliers pour plus de 10 heures de son au Parc Floral de Paris.
Laurent Lafon, Maire de Vincennes a vivement réagi en pointant l’aspect contradictoire de cette autorisation par la ville de Paris alors que vient tout juste d’être relancé le Comité du bois de Vincennes entre la capitale et les villes riveraines du bois. Il déplore un très mauvais symbole quelques jours après l'installation de la Métropole.
07:44 Publié dans Animation-Culture, Paris Métropole, Vie du quartier | Lien permanent | Commentaires (1)
25/01/2016
Nous, grand-parisiens, avons désormais un président
Elle n'a que trois semaines, un périmètre encore imprécis, des compétences très limitées, un budget dérisoire, mais elle a désormais un président.
La Métropole du Grand Paris (MGP) a tenu vendredi son premier conseil métropolitain et a élu comme prévu Patrick OLLIER, député-maire (LR) de Rueil-Malmaison au poste de président. Comme prévu également mais surprenant, Anne HIDALGO, maire (PS) de paris a été élue à celui de première vice-présidente.
L'accord de gouvernance partagée conclu entre Patrick OLLIER et Anne HIDALGO est à l'origine d'un exécutif multicolore constitué de 20 vice-présidents (17 hommes et 3 femmes) et 7 conseillers métropolitains délégués (5 hommes et 2 femmes).
La répartition des vice-président(e)s est la suivante : 9 LR, 4 PS, 3 UDI, 3 FG, 1 EELV, celle des conseillers délégués : 2 LR, 2 PS, 1 FG, 1 UDI, 1 MoDem.
Notons que le territoire de Paris, qui est représenté par 62 conseillers parmi les 209, n'est représenté que par trois vice-président(e)s (Anne HIDALGO, Daniel-Georges COURTOIS, tous deux élus du 15e et Danièle PREMEL, élue du 18e), ainsi que par trois conseillers métropolitains délégués : Claude GOASGUEN (maire LR du 16e), Frédérique CALANDRA (maire PS du 20e) et Carine PETIT (maire PS du 14e).
Et si, comme nous, vous vous perdez un peu parmi les acteurs qui interviennent dans cette nouvelle structure ...
- L'État
- La Société du Grand Paris
- Le Syndicat Mixte Paris Métropole
- L'Atelier International du Grand Paris
- Grand Paris Aménagement
- La Mission de Préfiguration de la Métropole du Grand Paris
... dirigez vous vers cette page ou patientez un peu que le temps apporte quelques simplifications.
08:13 Publié dans Citoyenneté, Paris Métropole | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
14/01/2016
Vélib' lui aussi bientôt grand-parisien
En service à Paris depuis juillet 2007, Vélib' est incontestablement l'une des plus grandes réussites de Bertrand Delanoë et de Denis Baupin son adjoint de l'époque. Réussite grandement liée à la densité des stations et au nombre de vélos en service.
Dans le 12e, se trouvent 67 stations Vélib soit de quoi accrocher si elles étaient toutes pleines, environ 2000 Vélib'.
Le parc parisien (Paris et les 1,5 km qui l'entourent) devait initialement comporter 24 400 vélib'. Mais entre ceux en réparation, ceux volés (90 % d'entre-eux sont retrouvés dont récemment une centaine a été extraite du canal Saint-Martin en chômage), le parc actuel ne serait que de 17 000, des chiffres qui expliquent certaines situations de stations vides que la régulation n'est pas en mesure de maitriser.
Malgré ces petits soucis, Vélib se porte bien : avec près de 300 000 abonnés qui totalisent chaque jour 160 000 locations soit plus d'une par seconde il a brillamment soufflé sa huitième bougie et envisage de s'étendre.
Le contrat de JCDecaux arrive à échéance en février 2017. Dans la perspective du lancement d'un nouvel appel d'offre, APUR a publié en décembre dernier une étude sur l'opportunité d'un Vélib' métropolitain. L'APUR formule une double proposition :
- un système de vélos en libre-service dans le périmètre où l’intensité et la diversité de la demande est la plus importante.
- Un système de vélo en location de longue durée en complément, au-delà de ce périmètre.
La part du vélo dans les déplacements parisiens a triplé au cours des dix dernières années. Vélib qui représente 35 % des déplacements à vélo a été l'élément déclencheur de cette forte augmentation.
Le vélo est un système de transport économique, performant et non polluant, mais on ne dira jamais assez, que c'est élément majeur pour apaiser la vie urbaine et favoriser la convivialité.
Et avec l'extension des zones 30, qui est un facteur supplémentaire favorable de développement du vélo, 2016 s'annonce de ce côté sous de bons auspices.
07:51 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : paris