03/06/2013
Paris DansMaRue, pour une gestion collaborative de l'espace public
La ville de Paris va, d'ici fin juin, mettre en service Paris DansMaRue, une application informatique gratuite permettant à toute personne équipée d'un smartphone (environ 40%) de signaler toutes les anomalies qu'ils constateront sur l'espace public : tags, encombrant abandonnés, malpropreté, éclairage défectueux ...
Alors que nous avons très récemment exprimé les plus grandes réserves quant à l'avenir du mobilier urbain dit "intelligent", comment ne pas se réjouir de l'arrivée prochaine de l'application DansMaRue qui répond exactement au voeu que nous formulions en conclusion de cet article de février dernier.
Inspirée de FixMyStreet, Paris DansMaRue permet de savoir quelles anomalies ont déjà été détectées dans les centaines de mètres autour de l'endroit où se trouve l'utilisateur. Si celle observée n'est pas encore répertoriée, il peut alors l'enregistrer en indiquant les caractéristiques de l'anomalie (elle est géolocalisée) ainsi qu'une photo.
Avenue du Général Michel Bizot un lundi matin
(cliquez pour agrandir)
Paris DansMaRue est en expérimentation depuis septembre 2012 auprès des agents de la municipalité en charge de la gestion quotidienne de l’espace public (propreté, voirie, espaces verts).
Le 25 avril dernier, afin d'étendre le test en cours, la Mairie de Paris a proposé aux 20 mairies d’arrondissement de mettre à disposition cette application mobile auprès d’un panel de citoyens ou de conseillers de quartier et d’élus d’arrondissement.
L'application a déjà été testée par des membres des six conseils de quartier du 6e. La mairie du 20e qui propose que 2 conseillers de chaque quartier participe aux essais a organisé une réunion le 30 mai à cet effet. La Mairie du 3e vient de lancer un appel à candidatures pour ces tests.
Aucune information sur ce sujet ne nous est encore parvenue de la Mairie du 12e. Il serait vraiment dommage que nos élus passent à côté d'une formidable occasion de stimuler les conseillers de quartier en les faisant participer à une opération de terrain.
07:32 Publié dans Citoyenneté, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
16/05/2013
Bel-Air au delà de la muraille
Connaissez-vous les rues Bernard Lecache, Jeanne Jugan, Cailletet, du Chaffault, Elie Faure ? Non ? elles font pourtant partie du quartier administratif Bel-Air.
De toute évidence, ceux de nos lecteurs qui doutent que le boulevard périphérique constitue une fracture urbaine ne s'y sont pas promenés. Peut-être ont-ils tout de même parcouru le boulevard de la Guyane.
Boulevard de la Guyane
N'ont-ils pas constaté que ce bout de Bel-Air était pour le moins isolé de son centre ?
Photo prise depuis ICI
Cliquez pour mieux voir l'immeuble de brique situé LÀ
En examinant des cartes anciennes comme celle-ci ou celle-là, on peut facilement réconstituer les continuités urbaines qui ont été rompues par la voie quasi-infranchissable qu'est le boulevard périphérique.
Afficher Bel-Air avant sur une carte plus grande
En rouge sur ce plan apparaissent les quatre liaisons actuelles entre Paris et Saint-Mandé. En vert, les sept qui n'ont pas survécu au périphérique
Construction du boulevard périphérique en 1969
à la porte de Vincennes (cliquez pour agrandir)
Le recouvrement du périphérique apparaît à certains comme le remède à cette plaie. Ce n'est pas notre cas car elle n'est que très localement applicable et surtout ne fait que camoufler les nuisances plutôt que d'en traiter la cause.
Utile faute de mieux, mais guère engageant
Les défenseurs du périphérique rappellent que le transport des marchandises est nécessaire à la vie économique et à l'alimentation des parisiens. Certes, mais il ne suffit pas de les faire tourner autour de Paris, il faut aussi leur faire parcourir des artères pénétrantes comme le Cours de Vincennes qui pourrait être un modèle pour la conversion du périphérique en boulevard urbain.
La transformation du boulevard périphérique autoroutier en un boulevard urbain, accessible et franchissable par les piétons, ne peut bien sûr suffir à la création du Grand Paris. Un réseau de transport performant, une solidarité financière de tous les habitants et une gouvernance commune sont absolument nécessaires. Mais tant que le périphérique conservera son caractère autoroutier, il y aura un intra-muros et un de l'autre côté du périphérique.
07:32 Publié dans Paris Métropole, Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
13/05/2013
La parenthèse urbaine
C'est sous ce titre que le photographe Jean Philippe Corre a réalisé un intéressant travail sur La Petite Ceinture.
La parenthèse urbaine : circle from JiPÉ Corre on Vimeo.
Na manquez-pas :
- à la minute 1:30 le franchissement du Cours de Vincennes
- à 1:43 : la résidence de la rue Rottembourg
- à 1:58 la passerelle des Meuniers
- à 2:02 la grille de la porte de Charenton
07:57 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
10/05/2013
Que devient le Bastion Numéro 1 ?
Sous le titre Classé et caché nous évoquions en octobre 2010 les différents chantiers qui depuis 2007 ont privé les parisiens de ce monuments historique.
L’enceinte Thiers est ainsi nommée car décidée en 1840 par Adolphe Thiers, alors ministre de la Guerre afin d'éviter une nouvelle invasion de Paris après le désastre de 1914. Commencée en 1841, elle nécessita quatre ans de travaux.
L'ouvrage de 34 km de circonférence était constitué de 94 bastions surplombants un fossé de 10 mètres de profondeur et large de 40, au delà duquel s'étendait une zone non constructible d'environs 200 mètres. Vu de dessus, l'ouvrage encerclait Paris à la façon de créneaux de châteaux fort.
Crédits : P.Unplugged/De.Phoebus
À la destruction de l'enceinte, en 1919, il ne demeure que le bastion numéro 1 à la porte de Bercy (ci-dessus), et des vestiges du bastion 44 à la porte de Clichy. On peut aussi voir la poterne des Peupliers et une partie de la porte d'Arcueil.
Le bastion numéro 1, inscrit monument historique le 21 mai 1970, a été restauré pour la dernière fois en 1987.
Après sept ans de privation due au chantier SIAAP du Tunnel TIMA, puis à celui de l'extension de la ligne T3 du tramway, nous aimerions bien pouvoir profiter de ce monument historique de l'arrondissement.
Alors que le T3 est en service depuis bientôt six mois, rien n'a été annoncé concernant sa remise en état. Qui va la prendre en charge ? les entreprises qui l'ont meurtri ? l'état ? la ville ?
Faudra-t-il attendre l'achèvement du quartier Bercy-Charenton dont le plan guide a magnifiquement intégré ce monument aujourd'hui inaccesible, à la liaison verte prévue entre le bois de Vincennes et le parc de Bercy ?
Cliquez pour agrandir
Si c'est le cas, il nous faudra encore beaucoup de patience ...
07:30 Publié dans Animation-Culture, Démocratie locale, Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
03/05/2013
Le mobilier urbain doit-il être intelligent ?
Dans son appel à projet lancé fin 2010, la Ville de Paris définit le mobilier urbain intelligent comme :
. innovant sur le plan de la technologie, du service qu’il rend, de l’usage, des matériaux qu’il utilise ...
. permettant de transmettre des informations, de mettre en relation des usagers de la Ville, des mobiliers qui peuvent améliorer le confort des utilisateurs du domaine public (ex. parcs à jeux).
Le mobilier urbain dit "intelligent", qualificatif douteux et quelque peu désuet, semble être un sujet qui passionne nos élus comme ceux qui espèrent l'être un jour. Et ils le font savoir !
Des prototypes de mobiliers urbains intelligent, il en est apparu de tous côtés ces derniers temps. Ils font le bonheur des start-up informatiques, des designers et des publicitaires à l'affût. Vous ont-ils pour autant convaincu de leur utilité et de leur avenir ? Quelques exemples :
En avril 2010, Orange et JCDecaux ont mis en place 12 prototypes de cabines téléphoniques dites "du futur" permettant 10 minutes d'accès gratuit à internet.
La cabine du 26 rue des Pirogues de Bercy
La cabine, aujourd'hui déséquipée de son matériel de télécommunications est toujours en place et son verso toujours utilisé comme support publicitaire JCDecaux. On ne sait rien des conclusions de l'expérimentation.
Il est probable que les passagers qui ont fréquenté la station de bus Gare de Lyon/Diderot durant l'expérimentation Osmose, garderont davantage en mémoire son design, ses bancs et sa bibliothèque Circul'Livre que sa connexion WiFi, ses écrans tactiles et ses ambiances sonores souvent en panne.
Le recours à de grands écrans tactiles est aussi la caractéristique principale de l'abribus et de l'espace Numérique JCDecaux installés place de la Bastille et au rond point des Champs Elysées.
Ne parlons pas du Smoovebox, du E Village ou de la Reliance Urbaine qui plutôt à classer au rang des ovnis urbains. Quant au Vélobox, son intelligence reste à démontrer.
Est-il vraiment pertinent de vouloir à tout prix mettre des technologies sophistiquées dans le mobilier urbain alors que plus de 40 % des Français sont aujourd'hui équipés d'un smartphone qui leur donne accès en tout lieu à l'information recherchée. Qui plus est :
Les Smartphones ont le vent en poupe. On prévoit un doublement de leur taux de pénétration à l’échelle mondiale d’ici 2015, où 72% de la population sera donc équipée. En Europe Occidentale, ces taux sont encore plus vertigineux, croissant de 27% annuellement. Champions de cette catégorie : les Suédois, équipés à 73% en 2012, et 93% en 2015 d’après les prévisions ! (Source)
Est-il raisonnable d'investir dans un matériel lourd et de consacrer des budgets d'entretien conséquents pour doublonner ce que chacun aura bientôt dans sa poche comme il possède aujourd'hui une montre au poignet ?
C'est probablement ce raisonnement qui a conduit La Poste à expérimenter une Boite aux lettres "intelligente" développée par Connecthings et reposant sur les technologies NFC et QR code accessible depuis votre smartphone. À vous de dire si les fonctions offertes vous semblent utiles, La Poste a prévu un questionnaire de satisfaction !
Boite aux lettres "intelligente" à la gare SNCF de Strasbourg
Copyright *Connecthings
Même le très respectable projet Pannames risque d'avoir bien du mal à offrir des fonctions plus performantes qu'un logiciel géolocalisé sur un téléphone mobile.
Le mobilier urbain doit-il pas, au contraire, se limiter à des fonctions basiques, rester robuste et rustique, guère plus high tech que les PILI (Plans Indicateurs Lumineux d'Itinéraires) introduits dans les années 1930 et toujours en service dans les stations de métro parisien. On dénombrait cent quatre-vingt-quatre PILI sur le réseau en 1981.
Nous suggérons à nos élus de préserver les capacités d'investissement de la ville en privilégiant des équipements durables, répondant au besoin du plus grand nombre et ne nécessitant que de faibles coûts d'entretien.
07:26 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
02/05/2013
Visite architecturale de la Cinémathèque
Comme chaque premier dimanche du mois, la Cinémathèque organise dimanche 5 mai 2013 à 14h00 une visite du bâtiment qu'elle occupe. Détails et réservation ici.
Cette visite guidée, animée par un conférencier spécialisé en architecture, vous entraîne à la découverte du bâtiment construit par l'architecte Frank O. Gehry et réaménagé par Dominique Brard pour accueillir la Cinémathèque. Après une projection de documents, le parcours débute par une visite de la Cinémathèque, permettant d'accéder à des espaces normalement fermés au public, et se poursuit par une déambulation dans le parc environnant, dont vous pouvez suivre l'évolution du 18ème siècle à aujourd'hui...
Cliquez pour agrandir
Gehry avait initialement dessiné ce bâtiment pour accueillir le centre culturel américain, et a ouvert ses portes en 1993, mais faute de budget suffisant, l’organisme a dû quitter les lieux après quelques années seulement dans l’édifice. Ce n’est que plus tard, en 1998, que Catherine Trautmann, alors ministre de la culture, décida d’utiliser le bâtiment pour accueillir la cinémathèque française…
Durée : 2h.
Plein tarif : 8€, tarif réduit 7€, moins de 18 ans 4€
Le billet de la balade architecturale donne accès au Musée de la Cinémathèque le même jour (audioguide non inclus).
07:31 Publié dans Animation-Culture, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
27/04/2013
Passage de la Voûte, le chat est arrivé
Nouveau spécimen du bestiaire de Bel-Air, le chat du passage de la Voûte vient d'être installé. C'est le blog de l'association ARVEM qui nous l'apprend. Pour le voir de plus près, cliquez ici.
09:10 Publié dans Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
25/04/2013
Ne fêtons PAS les 40 ans du Périphérique !
Le boulevard périphérique parisien a été inauguré le 25 avril 1973 par le premier Ministre Pierre Mesmer.
Commencé 15 ans auparavant dans la zone de servitude non aedificandi des fortifications, il est long de 35 kms, suit en grande partie les limites administratives de la ville et la sépare des 21 communes limitrophes.
Inauguration du Périphérique (cliquez pour agrandir)
Sa traversée du 12e, de la Porte de Vincennes à la porte de Bercy où est situé le point kilometrique "0", représente un parcours de 3,2 km, soit près de 10% de sa longueur totale.
Plutôt que fêter son anniversaire, nous voulons aujourd'hui en déplorer la présence :
- la chaussée principale du boulevard périphérique occupe une superficie de 1 380 000 m² soit quatre fois le Jardin du Luxembourg ou 1,3 % de la surface de la Capitale. Imaginez ce que la Ville pourrait construire de logements, d'équipements publics et d'espaces verts sur une pareille surface ! (voir ici)
- il a créé autour de lui une zone impropre à l'habitat dans laquelle le Maire de Paris et son adjointe en charge de l'Urbanisme ne trouvent de meilleure utilisation que d'ériger les tours dont aucun Parisien ne veut.
- aucune capitale européenne ne dispose d'un autoroute-boulevard de ceinture aussi proche de son centre historique.
- Sa couverture ne constituerait qu'un couteux cache misère et ne concernerait tout au plus que sa partie en tranchée (40 % de sa longueur). En dépit des GPRU et des couvertures déjà effectuées, il constitue une entrave majeure aux liaisons civilisées entre Paris et les communes riveraines.
- pas plus que sa couverture, la réduction de la vitesse à 70 km/h ne constituera un remède aux nuisances (bruit et pollution atmosphérique) liées au passage de quelque 1,3 million de véhicules par jour
- les nuisances qu'il génère sont à l'origine de la morne architecture (alignée sur les 37 mètres règlementaires) qui le borde.
- ni vraiment Paris ni banlieue, il a même fallu en 1975 le doter d'une autonomie policière, le Service de Circulation du Périphérique avec plus de 160 policiers en son sein.
- à la différence des autres artères parisiennes, personne n'envisage de lui attribuer le nom d'un personnage illustre, c'est dire le peu d'amour qu'il inspire !
Le Grand Paris dont la création devrait être un objectif prioritaire ne pourra réellement exister tant que cet autoroute n'aura pas été effacé ou au minimum intégralement transformé en boulevard urbain, comme l'ont successivement été les boulevards de ceinture, puis ceux des Maréchaux. Cliquez pour agrandir |
07:27 Publié dans Paris Métropole, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : paris
19/04/2013
L'architecture, parent pauvre de la concertation
On a récemment vu la Mairie du 12e déployer d'importants moyens pour organiser et faire l'éloge de la concertation sur le réaménagement du jardin du boulevard de Picpus.
Une large consultation fort bien menée par la Mairie a permis à 326 personnes de participer au vote relatif à ce réaménagement.
On peut toutefois se demander si la rénovation de ces quelques arpents de jardin d'intérêt très local devait prendre une pareille dimension. N'aurait-il pas été valorisant pour les deux conseils de quartier à l'origine de la demande - Bel-Air Nord et Nation-Picpus - de consulter eux-mêmes les habitants en organisant une réunion publique commune sur le sujet ?
Pendant ce temps, rue du Charolais, le nouveau conservatoire annoncé sort de terre sans qu'aucune réunion publique ni aucune exposition n'ait permis aux habitants de prendre connaissance et de s'exprimer sur l'architecture d'un bâtiment public dont l'impact va bien au delà du quartier où il est implanté.
Cliquez pour agrandir
Des réunions publiques de concertation sur le plan masse du quartier Charolais-Rotonde ont bien eu lieu jusqu'en mars 2011, mais rien depuis n'a filtré sur l'architecture des bâtiments. Nous avons bien réussi en mai 2011 (voir ici), à dénicher une vue du conservatoire et vous donner quelques informations sur le projet lauréat de Bernard Desmoulins, mais il nous faudra attendre l'inauguration (assez probablement au printemps 2014 ☺) pour en savoir davantage.
De même, nous découvrirons ensemble les autres bâtiments qui constitueront le quartier car il en va ainsi pour tous les projets d'architecture. Les habitants les découvrent lorsqu'ils sont construits.
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Qui sait comment fonctionnent les concours d'architecture, quels sont les projets en compétition, qui participe au jury ? L'architecture, voilà bien un domaine ou la transparence et la concertation ont du mal à s'imposer.
07:30 Publié dans Démocratie locale, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : paris
16/04/2013
Du passage de la Voûte à la rue Mahler
Le passage de la Voûte, récemment rénové et donnant accès à la station Porte de Vincennes du T3, s'apprête à acueillir un nouveau venu : le chat, sculpture réalisée par les élèves du lycée professionnel Chennevière-Malezieux.
Rappelons nous que c'est dans ce passage, qu'en 1930 Charles Trenet séjourna dans un hôtel dont la chanson l'hôtel borgne est probablement la réminiscence (à lire ICI sur le portil des amis de Charles Trenet) et l'hôtel Feria la descendance.
Aujourd'hui la Galerie des Bibliothèques de la Ville de Paris (22 rue Malher, dans le 4e) organise jusqu'au 30 juin 2013, une exposition Trenet, le Fou Chantant de Narbonne à Paris.
Quel rapport entre l'hôtel du passage de la Voûte, le chat qui va y être installé et Charles Trenet ? nous n'en avons trouvé qu'un : il se trouve dans Le Soleil a rendez-vous avec la lune à écouter ici :
07:37 Publié dans Animation-Culture, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris