24/04/2015
Que reste-t-il d'Haussmann ?
Paris doit pour une grande part son visage actuel à l'action du préfet de la Seine de 1853 à 1870, le baron Georges-Eugène Haussmann, qui mit en oeuvre les recommandations de Napoléon III influencé par ses séjours londoniens.
Haussmann crée des percées, grandes avenues rectilignes bordées d'arbres et d'immeubles en pierre de taille. Il confie à Davioud le soin de dessiner et réaliser en série un mobilier urbain unifié encore largement présent de nos jours sur les trottoirs et dans les jardins de la capitale : candélabres, bancs, fontaines, grilles des parcs et des jardins, kiosques, colonnes Morris, lampadaires, corbeilles à ordures, et urinoirs ...
Ce mobilier urbain est prétexte à des inventions décoratives qui contribuent à l'urbanité et à l'esthétique de la ville. De plus, grâce à son homogénéité et à la régularité rationnelle de son implantation, il lui confère son unité.
Boulevard Saint-Germain. Circa 1877 - Photo : Charles Marville
Depuis Haussmann, le mobilier urbain de Paris a plusieurs fois été remplacé par de nouvelles générations liées à l'apparition de nouveaux matériaux, de nouveaux moyens de transport et de communication : panneaux routiers, abribus, téléphones ...
Certains ont été réussis plus que d'autres ...
Cliquez pour agrandir
Certains ont été réussi plus que d'autres, mais on constate que leur l'unité de style tend à disparaître, et que leur fonction publicitaire est devenue commune notamment au travers des concessions attribuées à l'entreprise JCDecaux.
Cliquez pour agrandir
Beaucoup plus regrettable à nos yeux est l'implantation désordonnée de ce mobilier urbain qui semble aujourd'hui occuper le premier emplacement disponible de l'espace public sans réelle intention esthétique ni même fonctionnelle.
Nous avons récemment parcouru quelques percées haussmanniennes de Bel-Air Sud muni d'un appareil photo. Nous en avons rapporté ces images plutôt désolantes.
Les corbeilles dessinées par Jean-Michel Wilmotte sont esthétiquement réussies, mais à l'usage, on ne voit guère où est l'amélioration par rapport aux anciens supports de sacs.
Cliquez pour agrandir
Tantôt accrochées plutôt mal que bien à des poteaux, tantôt implantées au sol, la plupart penchent désespérément en raison d'une fixation mal conçue.
Cliquez pour agrandir
On les trouve souvent en bordure de trottoir pour faciliter la collecte par les agents de la DPE plutôt le long du parcours habituel des piétons.
Cliquez pour agrandir
Sous Haussmann, les bancs étaient disposés dans l'alignement des arbres. Leur emplacement n'a souvent pas suivi les aménagements successifs des trottoirs.
Cliquez pour agrandir
Parfois leur implantation est totalement fantaisiste.
Cliquez pour agrandir
Les boites à lettres, ou plus exactement celles qui subsistent encore dans notre quartier sont dans un état qui n'inspire guère de respect pour l'administration qui les gère.
Cliquez pour agrandir
On ne sait plus très bien si les enclos qui protègent les arbres récemment plantés doivent être considérés comme des barrières de chantier, ou des espaces de végétalisation voulue, mais on constate que leur emprise sur l'espace public est considérable, sujette à accumulation de déchets et difficile à entretenir.
Cliquez pour agrandir
L'évolution de la ville et des besoins de ses habitants a conduit a diversifier et à multiplier le nombre de mobiliers urbains présents sur nos trottoirs. Récemment les très réussies bornes à verre d'Emmanuel Cairo :
Cliquez pour agrandir
Pour demain, on annonce l'arrivée d'urinoirs. Si le modèle Haussmann (1875) ne nous inspire guère, un nouvel Haussmann serait bienvenu pour mettre de l'ordre dans ce désordre urbain.
Cliquez pour agrandir
07:55 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
21/04/2015
Bercy Charenton : importante réunion demain à l'Espace Charenton
C'est la dernière étape de la concertation officielle concernant le projet Bercy Charenton avant l'enquête publique sur la modification du Plan Local d'Urbanisme (PLU) qui doit permettre la création de la ZAC.
Catherine BARATTI-ELBAZ (Maire du 12e) et Jean-Louis MISSIKA (Adjoint à la Maire de Paris chargé de l'urbanisme, de l'architecture, des projets du Grand Paris, du développement économique et de l'attractivité) nous invitent à participer demain mercredi 22 avril 2015 (19h) à l'Espace Charenton (327 rue de Charenton) à une réunion publique de restitution du bilan de la concertation et des évolutions du Plan Guide, schéma d'ensemble de la future opération d'aménagement.
Une plateforme en ligne bercy-charenton.imaginons.paris est censée permettre de poster des contributions qui seront prises en compte dans le bilan de la concertation. Problème : elle a été annoncée le 14 avril et sera close le 22 !
RSHP/AJN/TVK/AREP/Ingérop/Michel Desvigne/Franck Boutté/RFR
Vue d'ensemble présentée le 10/12/2014
Cliquez pour agrandir
En dépit des explications qui nous ont été fournies pour justifier l'extension de la ZAC, nous continuons à penser qu'il y a en fait deux projets urbains (Bercy Charenton, et Leo Lagrange) qui ont donné lieu à deux Plans Guide de grande qualité mais dont la juxtaposition ne contribue nullement à renforcer la continuité urbaine entre Bercy et Charenton, un objectif majeur qui semble oublié.
07:37 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
17/04/2015
150 millions d'euros pour doper le vélo à Paris. Zoom sur le 12e
Au début de la semaine, le Conseil de Paris a voté à une très large majorité le Plan Vélo 2015-2020 (2015 DVD 99) défendu par Anne Hidalgo (Voir ici) et présenté par Christophe Najdovski.
Ce plan n'est certes pas le premier lancé par la municipalité parisienne depuis 1982, mais au delà de son montant (150 millions d'euros investis au cours des 5 prochaines années), il se distingue par un objectif qui pour la première fois, ne s'exprime pas en kilomètres de pistes cyclables ou en nombre de places de stationnement, mais en progression de la part modale du vélo dans l'ensemble des déplacements : 15 % de déplacements effectués à vélo d’ici à 2020, contre seulement 5 % actuellement.
Cliquez pour agrandir
Le plan prévoit entre autres la limitation de la vitesse à 30 km/h dans la plupart des rues entrainant la quasi-généralisation des double sens cyclables. Il prévoit également la création d'un réseau Express.
Intéressons-nous à sa déclinaison dans le 12e :
Cliquez pour agrandir
La partie Est du réseau Express traversera le 12e de la place de la Bastille jusqu'à Nogent-sur-Marne. La piste cyclable de l'avenue Daumesnil créée il y a dix ans et qui présente bien des défauts devra probablement être redessinée. On dit que le réseau express serait constitué de voies cyclables à double sens. L'emprise de la contre-allée du côté impair pourrait contribuer à la création d'une telle piste.
Une seconde piste Express Est-Ouest traversera le 12e cette fois sans guère de problèmes de partage de l'espace public, puisqu'elle longera la Seine.
Les boulevards de Picpus et de Reuilly (entre la place Courteline et la place Félix Eboué) font partie des rares sections de la ceinture des Fermiers Généraux non dotées de pistes cyclables. Leur création prévue au plan 2015-2020 aura inévitablement des conséquences sur la largeur des voies automobiles et probablement sur le stationnement. Au positif, on peut espérer que la traversée de la place Sans-Nom par des voies cyclables soit bénéfique aux piétons et à un début de requalification de la place.
Cliquez sur les imagettes pour les agrandir
La rue de Charenton entre Dugommier et la porte de Charenton est elle aussi concernée, mais l'opération s'avère plutôt simple.
Il est question enfin sur ce plan de créer un itinéraire cyclable rue du faubourg Saint-Antoine entre la place de la Bastille et la place de la Nation. La Direction de la Voirie et des Déplacements détient-elle pour le créer, une solution autre que de réserver le faubourg aux circulations douces et aux transports en commun ?

Répondant aux critiques de ceux qui en auraient souhaité encore davantage, Christophe Najdovski, a convenu : C'est sûr qu'on ne va pas rattraper Amsterdam en cinq ans, qui est une ville engagée depuis longtemps dans une politique pro-vélo. Mais on ne va pas en rester aux intentions. Une réponse réaliste et déterminée !
08:00 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
14/04/2015
Heureusement, tous les gestes architecturaux ne produisent pas des tours
Alors que l’ombre de la tour Triangle plane toujours sur la porte de Versailles, que des immeubles de grande hauteur menacent le quartier de Bercy Charenton, il est permis de s’interroger sur la tendance qu'ont les architectes à concevoir des tours chaque fois qu'un geste architectural leur est demandé.
Aujourd’hui, bien rares sont les constructions qui permettent aux architectes d’effectuer ce qu’on a coutume d’appeler un geste architectural. Et quand une occasion leur est donnée, le geste se traduit le plus souvent par une tour que certains n'hésitent pas à qualifier de belle, mixte ou écologique.
En vérité, une tour n’a d’autre objectif que d’augmenter la surface hors d'oeuvre nette construite sur le terrain disponible. Mais, compte tenu des règlements d'urbanisme, la densité construite au niveau du quartier est moins importante que celle d'un bâti de type haussmannien, le bilan énergétique est incapable d'atteindre les objectifs du plan climat et la qualité de vie urbaine est dégradée.
Heureusement, dans notre voisinage (12e, 13e 20e), certaines réalisations et certains projets viennent rappeler que des gestes architecturaux forts s'avèrent compatibles avec des constructions de hauteur moyenne :
Le lot 6 de l'ensemble Villiot Rapée (19 rue Villiot/38 quai de la Rapée) : deux immeubles conçu par les architectes Hamonic + Masson, totalisant 62 logements gérés par Paris Habitat OPH.

Le conservatoire Paul Dukas (51 rue Jorge Semprun) : même si le geste n’est que relativement fort, l’architecte Bernard Desmoulin a réussi à réaliser un bâtiment remarquable au sens propre

Le centre RATP Garance en cours d'achèvement (20 rue des Pyrénées/ 67 rue de Lagny) : un ensemble immobilier construit sur les plans de Brigitte METRA, comprenant en sous sol, un centre de remisage et d'entretien pour les bus RATP et en surface 30 000m² de bureaux.

Le nouveau siège du journal Le Monde qui sera construit en 2017 près de la gare d'Austerlitz sur les plans de l'agence Snohetta :
08:04 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
31/03/2015
Ces dénominations qui tardent à être effectives
De l'ordre du jour du Conseil de Paris surgit de temps à autre une délibération concernant la dénomination d'une voie, d'une place, d'un espace vert ou d'un établissement public municipal.
Chaque fois le texte de la délibération se réfère à l'avis favorable émis par la Commission de dénomination des voies, places, espaces verts et équipements publics municipaux.
Alors que la transparence est une vertu dont nos élus se targuent, on ne sait quasiment rien (*) de cette commission. Quels en sont les membres ? quand et où se réunit-elle ? qui en fixe l'ordre du jour ? ses séances font-elles l'objet de compte-rendus ?
Le délai qui sépare l'adoption d'une dénomination par le Conseil de Paris et son attribution effective au lieu concerné est souvent très long, en particulier quand la dénomination concerne une voie.
Ainsi, si le nom de Paul Pernin a bien été ajouté à celui du nom du Jardin de Reuilly, si l'ex-Promenade Plantée est devenue la Coulée Verte René Dumont, la piscine de Reuilly s'appelle depuis peu piscine Jean Boiteux, la place Gertrude Stein est désormais connue de GoogleMaps
Le square du mail Gatbois a quant à lui, bien adopté le nom de Philippe Farine, mais n'a pas abandonné sa précédente dénomination.
Cliquez pour voir les panneaux de près
D'autres dénominations votées il y a plus d'un an restent encore ignorées des passants :
- passage AA/12 n'a pas encore abandonné son joli nom pour celui de Miriam Makeba (2013 DU 296 - DGRI 77 votée en novembre 2013)
- l'avenue de Bel-Air n'est pas encore devenue avenue Anna Politkovskaïa (2013DEVE 90 votée en juin 2013)
Cliquez pour agrandir
(*) Wikipedia signale toutefois que l'arrêté municipal du 13 mars 1985 institue une commission chargée d'examiner les projets de dénomination. Aucune information sur Paris.fr
07:37 Publié dans Commerces, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris
30/03/2015
L'Oeil du quartier verse une larme
Au 71 rue de Picpus, le joli clocheton qui avait fait l'objet de notre premier Oeil sur les perles du quartier a disparu.
Tombé avec le bâtiment des Petites Soeurs des Pauvres qui comme nous l'avions annoncé ici et précisé là, ont entrepris la démolition reconstruction totale de leur EHPAD datant de 1901.
Cliquez pour agrandir
18:03 Publié dans Voirie Urbanisme, "L'oeil du quartier" | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
27/03/2015
Les Paysagistes à l'honneur
Alors que nous ne manquons pas une occasion pour citer les architectes et les urbanistes qui façonnent le paysage de notre ville, pas une seule fois nous n'avons fait l'éloge de ceux, les paysagistes, qui dessinent nos espaces verts. Nous allons tenter de réparer cette injustice.
La conception et l'entretien des quelques 450 espaces verts de Paris sont sous la responsabilité de la Direction des Espaces verts et de l'Environnement (DEVE) qui, comme nous le verrons, fait appel à des paysagistes indépendants pour certains projets emblématiques.
Mais, puisque notre arrondissement est celui du bois de Vincennes, il nous a semblé incontournable de commencer par son aménageur. Il s'agit bien sûr d'Alphand.
Jean-Charles-Adolphe Alphand (1817-1891), est un ingénieur des ponts et chaussées connu pour son travail d'embellissement de Paris.
En 1853, il est appelé par le baron Haussmann comme ingénieur en chef au service des promenades, des parcs et des jardins afin d'embellir et assainir Paris et à fournir, selon les vœux de l'empereur, « un vaste parc aux populations laborieuses de l'Est parisien ».
En 1857, Napoléon III conçoit un plan d'aménagement et d'embellissement pour le Bois de Vincennes. Ce projet est confié en 1857 à Alphand qui conserve la trame générale du bois, mais transforme en parc anglais les pelouses et les espaces vides, et les relie par des chemins sinueux.
De 1857 à 1860, il creuse ou aménage, successivement, trois lacs : le lac des Minimes et ses trois îles, le lac de Gravelle et le lac de Saint-Mandé.
Le 24 juillet 1860, la ville de Paris ayant sollicité la possibilité de poursuivre les travaux, un sénatus-consulte lui cède le Bois, à charge pour elle d'y réaliser d'autres lacs et allées. Ainsi naîtront le lac Daumesnil et les îles de Bercy et de Reuilly.
Le Bois de Vincennes, concédé en propriété à la ville de Paris par Napoléon III en 1860, n'est pourtant officiellement rattaché au 12e arrondissement que par le décret du 18 avril 1929.
07:49 Publié dans Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris
23/03/2015
Les trois circuits sportifs du bois de Vincennes
Le bois de Vincennes offre une large pallette d'activités pour les amateurs de sport. Les fans de course à pied ou de jogging peuvent tester leur endurance sur trois circuits sportif spécialement aménagé pour la remise en forme. Espaliers, poutre, barres fixes et saute-mouton vous attendent désormais sur trois parcours.
Le parcours Daumesnil a deux boucles. Une version courte de 1400 mètres et 14 agrès est réservée aux débutants. Une seconde boucle, plus ardue, longue de 2400 mètres, vous entraîne à travers le bois sur 18 agrès. Le départ se situe au niveau de l'avenue Daumesnil, à 250 mètres de l'angle de l'avenue de Saint-Maurice en allant vers le château de Vincennes.
Le parcours de la Patte d'Oie, dont le départ est au carrefour de la Patte d'Oie, suit une boucle de 1400 mètres avec 11 agrès.
Depuis décembre 2014, le bois s'est doté d'un troisième parcours : le parcours des Minimes est une boucle longue de 1800 mètres et 13 agrès dont le départ se situe vers la Porte Jaune.
08:01 Publié dans Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : paris
12/03/2015
Rendez-nous nos trottoirs !
Alors que nombre de projets déposés sur la plateforme Madame la Maire j'ai une idée visent à offrir plus de place aux piétons, alors que la récupération des contre-allées des avenues et boulevards est demandée (ici avenue Daumesnil par VdF, là boulevard de Reuilly par BAS), on ne peut que s'insurger de voir que subrepticement, des emprises sur ces espaces piétons ou revendiqués comme tels sont affectés par la ville à d'autres usages :
- avenue Daumesnil, une station Vélib' (la 12043) a été créée devant le magasin Lidl alors que la DVD a pour principe de mettre le stationnement deux-roues (vélos comme motos) sur la chaussée. Avec une telle disposition, la circulation des vélos parmi les piétons est quasi-inévitable !
- avenue Daumesnil, au niveau du numéro 201, une station Autolib est en cours de création sur la contre-allée. Des travaux couteux qui compromettent bien évidemment la récupération de cet espace au profit des piétons.
- avenue Daumesnil, la contre-terrasse accordée par la ville à la brasserie le Tramway, est d'un intérêt évident pour ses résultats commerciaux, mais bien moindre pour les déplacements des personnes faisant leurs courses.
07:56 Publié dans Commerces, Démocratie locale, Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : paris
09/03/2015
Priorité aux piétons avenue Daumesnil
C'est la partie de l'avenue Daumesnil dans laquelle le commerce présente les caractéristiques que nous aimons tant : tous les besoins de la vie quotidienne peuvent être satisfaits sur quelques centaines de mètres. Les chalands se livrent avec plaisir à leurs emplettes, mais le plaisir s'interrompt lorsqu'il s'agit de traverser l'avenue Michel Bizot.
Alors, s'il en est que le chantier qui a débuté lundi dernier réjouit, ce sont bien les conseillers de quartier de Bel-Air Sud et Vallée de Fécamp qui l'ont plébicité en 2013 à l'occasion du budget participatif. Sa réalisation initialement prévue en 2014 a du être différée pour des raisons techniques.
Voir ici la fiche adressée aux riverains et commerçants. Mais nous sommes tous concernés.
Cliquez pour agrandir
Après un traitement spécifique et sécurisé visant à retirer la couche superficielle de la chaussée présentant des traces d’amiante, les travaux suivant seront effectués :
- Création d’un plateau surélevé au carrefour des avenues Daumesnil et du Général Michel Bizot
- Agrandissement ponctuel de trottoir
- Rénovation de la chaussée de l’avenue du Général Michel Bizot.
Cliquez pour agrandir
Une fois cette incontestable amélioration effectuée, il restera néanmoins un point à régler qu'illustre la photo ci-dessous.
Parmi les demandes formulées par le conseil de quartier dans le cadre du budget participatif 2016, figure le déplacement de ce panneau JCDecaux, une demande à laquelle vous ne manquerez pas d'apporter votre soutien.
08:20 Publié dans Commerces, Vie du quartier, Voirie Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : paris

Contact












